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Uchronie du Trône de Fer de George R.R. Martin. Venez incarner un riche Lord, un noble chevalier, un seigneur ruiné ou un roturier dans le Royaume des Sept Couronnes !
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La Tombe-du-Roy - Arianne

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MessageSujet: La Tombe-du-Roy - Arianne La Tombe-du-Roy - Arianne  Icon_minitime24.04.13 19:05

L'Eté n'était pas encore tout à fait partit des terres du Sud. La température était si élevée que sur les terres arides de la Principauté, le moindre fruit qui poussait, éclatait sous la pression, éclaboussant les environs de ses graines. La terre sèche s'envolait comme de la poussière, ou du sable sous les rafales de l'océan. Et la fin de l'Eté se faisait encore plus cruelle que le froid qui s'installerait sur Westeros pour plusieurs années. Les bêtes et les hommes, suffocants, mourraient d'insolations.

Mais toutes ces misères étaient bien loin de la forteresse de La Tombe-du-Roy, de l'illustre famille des Forrest de la Principauté de Dorne. Dans les Montagnes Rouges, le climat restait frais entre les pierres et l'ombre des vaux offrait un répit bien mérité aux paysans. Les sources limpides étaient devenues un paradis de fraicheur pour les bêtes et les hommes. Et c'est dans cette douceur contrastée que la forteresse était aujourd'hui en ébullition. En effet, la Princesse Héritière de Dorne, Arianne Martell était attendue pour la tombée du jour. Les tapisseries étaient brossées, les carreaux lavés, le sol frottés, les cuisines marchaient depuis l'aube. Dans les lavoirs du château, les lavandières lavaient et parfumaient le linge et les draps, les bouviers choisissaient leurs plus belles bêtes pour le repas, les bougies étaient neuves, les tables étaient cirées. Les couloirs étaient décorés de fleurs et de guirlandes aux couleurs des deux maisons, les chevaliers et les gardes revoyaient leurs armures, les écuries étaient également nettoyées. Et tout cela, sous la poigne de fer de la maîtresse des lieux.

Dans un regard circulaire, elle admira la salle de réception, surveillant les moindres faits et gestes. Son regard, aussi dur que l'acier, balaya les couloirs, la cour, les chambres et les cuisines. Inspecteur. Pour le moment, tout allait très très bien. Les gens étaient concentrés et précis, tout allait vite, c'était bien fait. Mais au moment de monter voir son fils cadet dans sa chambre, les choses se gâtèrent quelque peu. Déjà, quelle fut sa surprise d'y trouver également son fils aîné. Quant au spectacle qu'elle y vit, elle sentit tous les poils de son corps se dresser.

- Mais qu'est-ce que c'est que ça...

En effet, il y régnait une ambiance chaotique d'une récente bagarre. Des coussins éventrés, des rideaux de lits au sol, les livres piétinés, quelques chaises brisées et renversées. Au sol, une épée de bois et dans la main de son cadet, au sol maintenu par son frère, un tison. Quelques valets et serviteurs de l'étage s'étaient regroupés autour de la porte, derrière leur souveraine pour constater l'ampleur des dégâts à leur tour.

- Mestre Landri. Allez me chercher Mestre Landri.

Sa voix était dure, sèche, glaciale et pleine de colère retenue. Une colère qui explosa quand elle ne vit aucun de ses serviteurs faire le moindre mouvement.

- MAINTENANT !

L'agitation les prirent soudain et comme des petites fourmis, tout ce beau monde fila en direction de l'aile Ouest, dans la Tour aux Etoiles. D'un geste, la Lady tira son fils aîné pour le relever, puis saisit son cadet à son tour. Elle ne put se retenir et les gifla chacun. Deux fois.

- Alors c'est ainsi que l'on se comporte en tant que Forrest. Comme des paysans, des bagarreurs des bas-fonds. Vous me faites honte. TOUT LE CHÂTEAU SE PRESSE A ACCUEILLIR LA PRINCESSE ARIANNE ET VOUS, VOUS CHAMAILLEZ A EN METTRE UN TEL DÉSORDRE ! VOUS PENSEZ PEUT-ÊTRE QUE LES GENS DE CE CHÂTEAU N'ONT QUE CA A FAIRE ? RÉPARER VOS BÊTISES ?!

Il était extrêmement rare d'entendre la Lady hausser la voix et perdre autant son sang-froid.
D'un geste brutal, elle saisit ses garçons par le col et leur injecta, en serrant les dents :

- Vous voulez vous battre ? Très bien. Ce sera épées à la main, dans la Cour. Et je ne veux pas que ce combat cesse sans que l'un de vous deux soit blessés. Est-ce clair ? Ca vous fera passer l'envie !

- Mais Mère... Je... Vous n'y pensez pas !

- Dickon. Un mot de plus et ce sont les cachots. Dehors. Maintenant !

Affolés, les deux gamins sortirent en courant. Et pendant que la Lady sortait de la chambre rejoindre le cellier, elle dit en croisant le Mestre qui arrivait vers elle.

-Surveillez leur combat. Et donnez leur des vraies épées. Avec un peu de chance, ils seront fatigués avant même de se frapper réellement avec.

- Mors est plus âgé, Madame.

- Donnez-lui l'épée de son père.

L'épée en question était une double épée, une arme à deux mains, très très lourde. Toute en acier et or, elle devait peser plusieurs kilos. Impossible de la manier à moins d'être Lord Forrest lui même, ou un Géant.
Elle donna également l'ordre laisser la chambre de son cadet en son état, et même, de la faire visiter à la Princesse, pour ajouter à la sévérité de la punition.

- Quant à Mors, vous le ferez dormir aux écuries. Y a pas de raisons pour que Dickon dorme au sol et pas lui.
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MessageSujet: Re: La Tombe-du-Roy - Arianne La Tombe-du-Roy - Arianne  Icon_minitime26.04.13 17:07


La Tombe-du-Roy
Alceste Forrest
Port Réal s’éloignait enfin. Ils rentraient chez eux avec soulagement. Ils ne supportaient pas la capitale et le constat de leur voyage n’était pas bon. Il leurs avaient couté plus cher que prévu avec la mort des chevaliers de Dorne dans le banquet. Ils avaient dû acheter des mercenaires hors de prix pour assurer la défense de la princesse. Doran n’allait pas apprécié. Bien que son père soit malade Arianne savait qu’il avait encore toute sa tête. Il haïssait les Baratheon et lorsque que la jeune femme allait lui apprendre ce qu’il s’était passé, elle ne voulait même pas penser à sa réaction. La Dornienne n’avait pas hâte de faire son compte rendu pourtant elle avait hâte de retourner vers le soleil brulant de sa région. Mais un long voyage les attendait. Dont deux semaines dans la chaleur terrible du petit désert de Dorne. Parmi les dunes de sable. Bien que son peuple soit résistant à ce genre de climat, il n’était jamais agréable d’y passer. Les bêtes et les hommes souffraient. Les animaux plus que les hommes car leur trouver un coin d’herbe pour se nourrir n’était pas aisé.
Ils voyagèrent pendant une semaine le plus discrètement possible. Ils devaient passer par le Bief, et le seigneur Tyrell n’aimait pas que les dorniens passent sur ses terres. Ils voyageaient donc de nuit et se cachait le jour pendant leur traversé du Bief. Une fois dans les marches de Dorne, ils purent reprendre un rythme normale, la chaleur augmentait chaque un peu plus. Le Sud se rapprochait, Arianne sentait le vent chaud contre son visage et cela lui faisait le plus grand bien. Elle se sentait enfin chez elle. Port Réal l’avait définitivement dégouté. Elle ne comprenait pas comment sa tante avait fait pour y rester tant d’année sans broncher. Arianne ne supportait pas l’étouffement qui régnait dans la capitale.

Un beau soir, alors qu’ils montaient le campement un chevalier fit remarquer qu’ils ne passeraient pas deux semaines à venir avec les vivres qu’ils leur restaient. La princesse ordonna d’envoyer un corbeau à lady Forrest pour lui demander l’hospitalité d’un soir. Le corbeau partit et le problème réglé, ils reprirent leur discussion joyeuse.
Le corbeau revint rapidement avec une réponse positive. Arianne changea de cap et se dirigea vers La Tombe-du-Roy. Une forteresse cachée dans les montagnes rouge. La chaleur restait néanmoins présente sur la route. Elle garda un rythme lent pour ne pas fatiguer les montures. Les chevaux souffraient de cette chaleur, leur longue crinière les faisait transpirer. Arianne décida de faire une pause et de natter les crins pour soulager les bêtes. Ils perdirent du temps mais la princesse préféra garder le pas. Le soir tomba et ils campèrent de nouveau. Arianne demanda à voir la carte, et normalement ils devaient arriver le lendemain à La Tombe du Roy.
Le lendemain ils reprirent leur route toujours en progressant lentement. Les mercenaires commençaient à souffrir de la chaleur et cela amusait la princesse.
« Alors messires, un peu de soleil vous ferez le plus grand bien, vous êtes tout pâlichons ! »

Sa remarque provoqua le rire de ses chevaliers et renfrogna les autres. Elle rigola avec ses chevaliers. Ils continuèrent à discuter joyeusement, se taquinant. La princesse était toujours très proche de ses hommes et lors de ses voyages, elle leur permettait quelques familiarités. La jeune femme était d’humeur espiègle ce jour-là. Lorsqu’elle remarqua que le jour commençait à décliner, et qu’ils n’étaient toujours pas arrivés, elle força les bêtes à prendre le galop. Ils galopèrent jusqu’à la forteresse qui devait les accueillir. Ils rentrèrent à la même allure avant de s’arrêter dans la cour du château. Les chevaux soufflaient bruyamment mais ne luisait pas de sueur car la température était moins élevé.
La princesse flatta l’encolure de sa monture et mit pieds à terre, imité par ses hommes. Des gens s’empressèrent d’emmener les animaux vers l’écurie. La jeune femme remarqua que de jeune garçon faisait un duel avec de vraies épées. L’un d’eux semblait en difficulté. Il avait une épée lourde qui n’était pas du tout faite pour lui. Il se déplaçait avec difficulté. Arianne prit en pitié ce jeune homme. Elle rejoignit rapidement le jeune homme, se plaça derrière lui, lui replaça les mains sur le manche et arrangea sur sa position et il para l’attaqua de l’autre plus aisément.
« Restez de profil jeune homme, il vous touchera moins facilement ! » lui souffla-t-elle.

Le garçon reconnut la voix de la princesse et se retourna vivement la bouche grande ouverte. Son frère semblait dans le même état. Ils s’inclinèrent rapidement et maladroitement.
« Je ne suis pas le Prince Doran. Pas la peine de respecter autant les bienséances qu’on vous a apprises. Je n’aime pas ça ! »

Ils écarquillèrent les yeux se qui fit rigoler la princesse. Elle les laissa là et se dirigea vers l’intérieur. Elle croisa la propriété des lieux.
« Lady Forrest ! Je vous remercie de votre hospitalité ! »


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MessageSujet: Re: La Tombe-du-Roy - Arianne La Tombe-du-Roy - Arianne  Icon_minitime01.05.13 1:34

- Madame.

Dans un profond salut, elle s'inclina, faisant tomber quelques mèches enflammées sur ses épaules blanches. Ses vêtements scintillèrent sous les rayons couchants, projetant sur les pierres, quelques reflets or. Et dans un cliquetis gracieux, la Lady se redressa. Dans un sourire très tendre, elle descendit les marches, allant accueillir sa souveraine. Elle laissait sur son passage un parfum capiteux, de cèdre et d'épices. Sa traine semblait voler derrière elle, dans un panache de mousseline et de soie, tandis qu'elle descendait les escaliers pour rejoindre la princesse. Ses souliers dans un cuir délicat et coloré ne faisait aucun bruit sur les marches. Elle semblait se déplacer dans les airs, gracieuse et souriante.
Et avec une délicatesse toute maternelle et très respectueuse, elle prit la main de la Princesse entre les siennes, et murmura dans un sourire à la fois ravi et ému.

- C'est un grand honneur de vous recevoir parmi nous, Princesse. Le château tout entier se félicite de votre venue. J'espère que votre chevauchée a été agréable et pas trop semée d'embûches. Vous devez être tellement fatiguée, venez, je vais vous présenter les salles d'eau ainsi que votre suite. Vos gens et vos soldats peuvent suivre le chef de ma garde, qui les aidera à se défaire de ce long voyage jusqu'à nous.

Tandis qu'elle la guidait vers l'intérieur de la forteresse, débordante de guirlandes et de broderies à la gloire de la Couronne de Dorne, elle adressa un discret au mestre, qui le comprit immédiatement, tant il connaissait la maîtresse des lieux. Il se glissa derrière la foule qui suivait les deux femmes pour aller chercher les deux garçons et les décrotter pour le banquet. Bien qu'ils protestèrent un peu, pour la forme, ils obtempèrent très vite, soulagés que ce calvaire soit terminé. Et bien que Dickon avança d'un pas rapide tant il pressé, Mors lambinait quelque peu suivant du regard la Princesse. C'est vrai que son contact l'avait troublé, mais qui ne troublerait-il pas ? Et du haut de ses dix-sept années, ton intérêt pour le genre opposé s'était quelque peu accru. Ses traits se durcirent un peu, dans sa réflexion, avant de reprendre sa route avec son frère et le mestre.

Alceste, quant à elle, faisait grimper les hautes marches de son château. Les murs étaient couverts d'épaisses tapisseries, représentant les scènes les plus mémorables du règne Targaryen. Les dragons se dessinait sous des fils aussi purs et sanguinaires que le rubis, aussi sombres et effrayant de l'obsidienne, ou encore aussi azur et divin que le saphir. L'or et l'argent étincelait sur chaque bannière et chaque épée, rendant ce spectacle d'une effroyable beauté. De grandes fenêtres se présentaient dans chaque pièce, éclairant ces tapisseries d'une auréole sanguinolente. Ce règne pur des Dragons, achevé dans le sang et le feu.

La Lady lui présenta enfin sa chambrée, composée d'un lit à baldaquin aux voiles de mousseline, d'un âtre avec quelques buches sur le côté. De nouveau, de grandes tapisseries ornaient les murs, celles de champs fleuris et de moissons abondantes. Quelques fleurs fraiches tronaient dans un vase finement ouvragé et incrusté. De nombreuses soieries composaient les sièges et les coussins, et un balcon terminait ce spectacle de richesse : Ouvert sur les hauteurs, on pouvait assister au spectacle des montagnes en feu sous le soleil couchant, d'où ce nom de Montagnes Rouges.

- Si vous avez un peu froid, vous pouvez fermer le balcon par ces épais rideaux, ou bien la fenêtre, quoi ce soit un peu plus délicat. Pardonnez la modestie de cette chambre, ce château reste une forteresse avant tout. Mais c'est notre plus spacieuse et notre plus belle chambrée. J'espère que vous vous y plairez le temps de votre venue. Les salles d'eau se trouve au sous-sol, demandez à Germine, elle vous y conduira. Si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas.

Elle lui adressa un dernier sourire, s'inclina très respectueusement.

- Vos affaires seront montées dans quelques minutes.

Elle s'apprêta à partir, quand avant de franchir la porte, elle ajouta :

- Le banquet aura lieu dans deux heures. J'espère que cela vous conviendra. Et... Pardonnez moi Milady, mais ne faites surtout pas attention à mes fils. Mors et Dickon sont toujours un peu turbulents par moment.
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MessageSujet: Re: La Tombe-du-Roy - Arianne La Tombe-du-Roy - Arianne  Icon_minitime08.05.13 18:02


La Tombe-du-Roy
Alceste Forrest
La propriétaire des lieux s’inclina respectueusement devant Arianne et la princesse de Dorne le lui rendit un inclinant légèrement la tête. La jeune femme n’aimait pas cela mais elle laissait faire. Lady Forrest la remercia de son passage. A vrai dire c’était plutôt Arianne qui devait la remercier de son hospitalité. L’honneur était aussi grand du côté de la jeune femme. Relier Port Réal à Lancehélion n’était pas un voyage de tout repos et des plus agréables. Bien que la partie la plus désagréable était devant elle, ils avaient voyagé durant toute une semaine en passant sur les terres des Tyrell avec lesquelles les Dorniens n’entretenaient pas forcément de bonne relation. Et être sur le qui-vive à n’importe qu’elle moment était assez fatiguant. La jeune femme était ravie de l’hospitalité que lui offrait Lady Forrest.
« Je vous remercie Lady Forrest. Il est vrai que notre voyage est long et fatiguant, et c’est un soulagement pour mes hommes ainsi que les bêtes de pouvoir profiter de votre hospitalité. »

La maîtresse des lieux conduisit la princesse jusqu’à sa chambre. Arianne regardait admirative les tapisseries. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’avait vu autant de richesse et elle était quelques peu dépaysé. L’auberge dans laquelle elle avait logé à Port Réal n’était pas des plus renommé. Elle observait tout en suivant son hôte les scènes que représentaient les tapisseries. Le règne des Targaryen. Une époque bien lointaine qu’Arianne avait très peu connu. Au moment de la rébellion de Robert Baratheon, elle n’était âgée que de six ans. Elle n’avait que très peu de souvenir. Le seul qu’elle possédait encore, c’était la fureur de son père lorsque la nouvelle du meurtre de sa tante était parvenue à Lancehélion. Elle avait rarement vu son père autant en colère, puis cette colère avait laissé place au deuil de la famille. Même si elle était jeune, elle avait compris que Robert Baratheon n’était pas un ami, mais un usurpateur et un assassin. Malheureusement elle devait se plier à la loi de ce Roi qu’elle n’aimait pas. Si les deux Targaryen qui se trouvaient sur Essos revenaient un jour à Westeros, Arianne n’hésiterait pas un seul instant à prêter allégeance aux Dragons. Sa tante méritait d’être vengée.

Son hôte lui présenta sa chambre. Elle était bien meublé et confortable. Elle offrait une magnifique vu sur le soleil couchant de Dorne. Ce spectable avait manqué à la princesse, et elle laissa son regard vagabonder quelques instants sur la vue. Lady Forrest la sortit de sa torpeur pour lui annoncer que ses affaires seraient monté d’une minute à l’autre. La jeune femme sourit et remercia la femme à la chevelure de feu.
Elle allait partir mais se retourna pour lui dire que le banquet avait lieu dans deux heures et qu’elle ne devait pas faire attention à ses fils. Arianne fut surprise. Elle-même était un peu impulsive alors des enfants un peu turbulent ne la dérangeait pas.
« Oh ne vous en faites pas ! Je suis sure qu’ils sont bien élevés et même si leurs impulsivités leurs font défauts qu’ils ne manqueront pas de respect. »

Arianne se souvint rapidement des deux garçons qui se battaient en duel dans la cour à son arrivée. C’était peut-être eux…
« Vos fis…ils n’étaient pas en train de se battre dans la cour ? Si ce sont eux, ils se battent à merveille bien que l’aîné possédait une épée bien trop lourde pour son gabarit. »


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© Belzébuth
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