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Kashina...Danseuse sacrée

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Kashina




Personnage
Age du personnage: 32 ans
Surnom: La Danseuse sacrée
Métier/Titre(s): esclaves-concubine lysienne

Kashina
« La danseuse sacrée »

Copyright : Avatar: by me
Citation : Demain sera un jour meilleur...
Pseudo : Luna
Corbeaux : 983
à Westeros depuis : 02/12/2012
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MessageSujet: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 20:38


Kashina

qui signifie, danseuse sacrée
feat. Natalia Vodianova
« Demain sera un jour meilleur. »






© Luna

Personnage

Appartenance : Essos
Age : 32 ans
Métier/Titre : Esclave concubine
Situation familiale : Célibataire
Famille : Maman d'une fille qu'elle a abandonnée à la naissance -> Alyss Snow
Allégeance : Aucune
Rang spécial : //

Histoire



Flowers Of The Sea by Era on Grooveshark

La naissance, c’est ce qui dictera toute ta vie. Soit tu as de la chance et tu nais avec le sang bleu. Un toit au-dessus de ta tête, trois repas par jour, parfois même plus. On t’apprend à lire, à écrire…Et en plus de cela, tu as des parents qui t’aiment. Il y a ceux qui ont ni le toit, ni les repas, mais qui ont l’amour inconditionnel de leur père et leur mère, et au fond du trou, tout au fond…Il y a les gens comme moi. Née d’une naissance visiblement non désirée, considérée comme une bouche de plus à nourrir, dès que je fus capable de tenir sur les deux pieds correctement, on me donna tout ce qu’il fallait pour travailler dans la petite ferme de mes parents. Je payais de ma chair, de la sueur et de mon sang, le prix de ma vie sur terre. Si je voulais manger, je devais travailler, travailler très dur. Le dire est une chose aisée mais le faire en était tout autre, c’était un travail de tous les jours, dès les premiers rayons de soleil au dernier et parfois même à la lueur de la lune.
Beaucoup meurt dans ce genre de condition, la maladie les emporte, mais j’étais déterminée à me battre, à vivre, je n’avais pas besoin de l’amour de mes géniteurs, tout ce dont j’avais besoin c’était l’espoir…L’espoir en une vie meilleure.

Comme n’importe quelle petite fille de mon âge, je croyais au destin incroyable qui changeait la vie d’une esclave en celle d’une princesse, si c’était arriver à certaines, pourquoi pas à moi ? Je m’endormais chaque nuit sur la couche de paille en me disant que demain serait plus facile, demain serait meilleur. Jusqu’au jour où ma mère tomba malade, le travail doublait, et mon père ne savait que faire de moi. Il n’avait pas les moyens de la soigner, il n’avait pas les moyens de me nourrir, et j’étais incapable de fournir le même travail que ma mère. Si bien que la décision pour lui de me vendre fut tellement plus facile à prendre.
On vint me chercher un soir, m’arrachant à ma maison, à ma famille, et je me laissais faire en me disant…Demain…Demain sera un jour meilleur.

Sur un marché d’esclave, je fus acheté, destinée à nettoyer, à servir, je n’étais rien d’autre que cela. Une gamine qui dépoussiéré les meubles, mais la maitresse de maison, qu’il m’était pourtant interdit de voir ou même à qui parler, je l’observais en cachette. C’était une musicienne, une peintre, et qui était atteint d’un mal que j’étais incapable de comprendre à l’époque : elle était aveugle.
Je passais tout le peu de temps libre que j’avais à la regarder, à l’écouter, à l’observer et à jalouser son incroyable talent pour l’art. C’était comme si tout mon espoir était mis à nu, comme si tout ce que je pouvais ressentir sans être incapable d’y mettre des mots étaient alors simplement décrit à travers la musique, ou le chant qu’elle laissait parfois sortir de sa bouche. Mais à force de l’observer, elle cessa un jour de jouer, esquissant un sourire mince…J’avais si peur quand elle me demanda mon nom, posant ses yeux morts dans ma direction. Je savais pourtant qu’elle était incapable de me voir, et pourtant…Ces yeux-là, j’en étais persuadée, voyait beaucoup plus de chose que mes propres yeux.

« Comment te nommes-tu ? »

Sa voix était d’une telle douceur, elle m’emplissait d’une étrange chaleur, il n’y avait aucune froideur dans ses paroles, aucun dégout, elle semblait juste…Posée, calme…Et sincèrement gentille.
Et moi qui me sentait si seule, je tombais sous le charme de ce bien être.

« Kashina… »

Le seul et unique cadeau de mes parents, un prénom. Elle tapota le coussin à ses côtés, m’invitant à m’asseoir, plus effrayée que jamais j’avais eu le réflexe d’observer à ma gauche et à ma droite avant de m’aventurer dans le luxueux salon où elle se trouvait. Elle me désigna l’instrument posé sur la table en face d’elle, me demandant si j’en avais déjà jouer, et durant cette courte entrevue, j’appris quelque chose pour la première fois de ma vie. M’enseignant que quelque note à peine. Mais je la retrouvais, chaque jour que je le pouvais, en cachette, et elle m’apprenait un peu plus de note. Nos entrevues durèrent bien des années, si bien que j’avais à peine une dizaine d’année quand je pouvais m’en servir parfaitement, composant moi-même mes propres musiques…Et plus que jamais, je m’endormais en me disant que demain…Sera un jour meilleur.

Elle tomba à son tour malade, la fièvre l’emportait doucement, incapable de jouer, elle sommait à son compagnon de m’appeler. Et lui qui m’avait tant et tant de fois interdit de la voir, m’appela un soir, l’instrument dans ses mains.

« Joue ! »

Dit-il lorsque je me retrouvais face au lit de ma maitresse. Ce mot était si froid, si dur, j’eus si peur que je n’osais bouger. Jusqu’à ce que ses paupières ne s’ouvrent, ainsi que ses lèvres.

« S’il te plait… »

Murmura-t-elle, meurtrie par la fatigue. Et sa douceur me réchauffa tant le cœur que je m’installai, et je jouais…Je jouais toute la nuit…Jusqu’à ce que la mort l’accompagne, retenant mes sanglots, seules mes larmes se glissaient le long de mes joues alors que je me répétais à moi-même que demain…Demain sera un jour meilleur.

Lorsqu’elle nous laissa, on me jeta dehors, je lui suppliais pourtant de me garder, je n’aurais rien à manger dehors, rien pour travailler mais dans un ultime geste de cruauté, lui qui exécrait tant la musique, me balança l’instrument à la figure en me disant que je n’avais qu’à jouer…Peut être les gens auraient assez pitié de moi pour m’offrir quelque pièce. Me chassant, je ne cherchai pas plus longtemps à le supplier. Quittant l’unique endroit que j’avais pu, sincèrement appelé : mon chez moi.
C’est dans la rue que je me retrouvais donc, instrument à la main, à jouer, jour et nuit, on me lançait parfois des pierres quand je gênais le commerce ou même sans véritable raison mais quelque fois c’était des pièces. J’arrivais parfois à me glisser dans une charrette pour voyager dans une autre ville, et le temps s’écoula, emportant avec moi l’espoir que demain serait un jour meilleur.

C’est quand j’eus oublié ce que voulait dire « Espoir » que vint à moi une superbe jeune femme, elle était vêtue de soie luxueuse et au lieu de me tendre une pièce, c’est sa main qu’elle me tendit. Inconsciente, je l’avais attrapé, je l’avais suivit jusqu’à cet étrange maison où bien d’autre femme comme elle se trouvait. Toute belle, certaine était vêtue de soie si transparente qu’elle laissait entrevoir les formes voluptueuse et sensuelle de leurs corps. J’ignorais où je me trouvais, j’ignorais même pourquoi je m’y trouvais, jusqu’à ce que je me retrouve face à une femme plus vieille que les autres, son regard inspirait la sévérité et le savoir, elle me jugea longuement, sans un mot avant de s’adresser à la femme qui m’avait amené ici dans un dialecte qui m’était inconnu. Elle s’adressa enfin à moi, le ton était sévère mais il ne semblait pas tinter de méchanceté. Mais je ne comprenais pas un mot de ce qu’elle me demandait, devant mon désarroi, elle changea ses mots à plusieurs reprise, avant que ceux-ci semblent enfin dire quelque chose…

« Ton nom… »
« Kashina… »

Elle me jugeait encore du regard avant de s’adresser une nouvelle fois à moi.

« Tu auras à manger, à boire, un lit, tu apprendras tous les jours, tu as eu beaucoup de chance mon enfant…Mais cette chance a un prix…Tu appartiens à cette maison, maintenant et à jamais…Tu as le droit de refuser, mais c’est maintenant… »

A cet époque, j’étais incapable de peser le véritable poids de cette décision, ainsi que ses conséquences…Je ne voyais que la maison, les jolies femmes, les beaux vêtements, les danses, la musique, c’était comme si du jour au lendemain, mes rêves étaient devenue bel et bien réelle.

« Je veux rester… »

Murmurais-je, timide…On me donna un bain, on m’habilla, et on me coucha.
La jeune femme qui m’avait emmené ici me caressait doucement les cheveux pour que je m’endorme, me murmurant alors à l’oreille.

« Tu verras…Demain sera un jour meilleure… »


« Tiens-toi droite : »

J’avais laissé échapper un hoquet de stupeur quand la tige de bois souple me fouetta l’arrière de la cuisse. Maintenant mon dos bien droit, je répétais les mouvements d’une danse au son de la musique que jouais l’une de ces femmes. Ainsi était devenue ma vie, j’apprenais à lire, à écrire, j’apprenais à servir le vin, le thé, j’apprenais la musique, le chant et la danse. J’apprenais tout ce qui aurait pu faire de moi une princesse comme on en voit dans les livres, j’apprenais à me tenir, j’apprenais l’histoire, j’apprenais tant et tant de chose. Je devais être capable de prendre 1001 visages…J’apprenais, chaque jour, le métier de courtisane. On m’enseigna qu’ici, on ne vendait pas son corps comme je l’avais cru plus jeune, mais on vendait sa compagnie. S’était un concept qui m’était encore bien trop abstrait, parce que je savais que certaines d’entre nous offrais leur corps. J’avais un jour posé la question, et on m’expliquait qu’ici, les femmes étaient légende, si prestigieuse, que les hommes  ou même les femmes qui avaient recourt à leur service pouvait ne pas le faire pour des raisons d’ordre sexuel mais plutôt pour le plaisir et l’honneur d’être en notre compagnie.

On m’enseigna à capter l’attention des hommes d’un seul regard, à les séduire sans même découvrir nulle autre parcelle de peau que mon poignet. C’était une vie toute nouvelle, un monde que je découvrais sans vraiment le comprendre. Comme un secret, qu’on était tenu de garder.

Lorsque je fus assez instruite, c’est au cours d’une étrange fête que les novices comme moi nous nous présentions dans différent domaine, le chant, la musique, et la danse. Durant cette soirée, était mis aux enchères la chose la plus précieuse que nous possédions toute. Je ne comprenais pas, ce n’est qu’à la nuit bien avancée, quand on m’amena à une chambre où m’attendait un homme, que je comprenais ce qu’il voulait. Je commençais à peine à prendre conscience des conséquences de ma décision…

Je ne détestai pas cette nuit où je devins femme…

Parce que je savais qu’à partir de maintenant, demain serait meilleur.
Et les jours qui suivirent le furent.

J’avais 15 ans que je possédais déjà un certain nombre de client plus ou moins régulier, je devenais ce pourquoi on m’avait enseigné à devenir. Bon nombre de mes soirées se résumaient à un repas parfois professionnel, parfois en tête à tête, j’étais le plus souvent montrée, telle une œuvre d’art. Certains d’entre eux m’offraient des présents, des robes, seul et unique que j’avais le droit de garder, de véritablement posséder car tout l’argent que chacun d’entre eux pouvaient débourser servait à la pension. A payer la dette  que je leur devais pour la nourriture, les cours, les soins, le toit au-dessus de ma tête.

Ce fut une bien étrange journée lorsque, durant une promenade avec un client sur le marché publique, j’avais croisé le regard sombre de cet homme du nord. Il comprenait sans que j’eu à lui dire ce que j’étais, ce que je valais, et je ne m’étais aucunement attendu qu’il vide l’entièreté de sa bourse sous les yeux de mes consœurs, il me désigna du doigt, sommant vouloir passer la nuit avec moi. Ce n’était pas ainsi que l’on s’offrait les services des courtisanes et Sakari était déjà prête à le mettre dehors quand je la stoppai.

« Laisse-le…Cet homme ne connait pas nos coutumes, regarde-le… »

Elle m’avait observé, l’air désapprobateur mais avait fini par s’écarter de ma route. Cela ne faisait qu’une année que j’étais officiellement une esclave de lit, à Lys, il était trop facile pour moi de céder face à un homme qui semblait avoir la mort au trousse. S’était ce que ses yeux me dictaient alors que je lui apprenais à mon tour les coutumes de nos contrées. Il me demanda de chanter pour lui, et je chantai, jouant, il profita de chacune des notes, m’invitant à boire à ses côtés, je me laissais doucement enivrer par le vin et par le charme hivernal de ses traits. Curieuse, la conversation qui avait tant tourner autour de moi se tournait à présent sur lui, je lui demandais comment s’était chez lui, il m’expliquait l’hiver, le froid, et la neige. Bien des choses que je ne connaissais qu’au travers des livres mais que je n’avais jamais vu, ni même touché.
Il avait fini par interrompre mes questions d’un baiser, je n’avais que 16 ans, et mon cœur immature, naïf et brisé ne demandait qu’à être aimer, si bien qu’en cette soirée j’offris bien plus que ma simple compagnie, victime de l’illusion de l’amour. Mais les histoires de ce genre se finissent au petit matin. Il s’en alla, ne me laissant que le froid hivernal de ses contrées contre ma peau et son nom : Benjen Stark.

Et si demain était un jour meilleur…Aujourd’hui me semblait si amer lorsque je retrouvais ma couche vide. Apprenant une nouvelle fois les conséquences de mon choix…

Les semaines s’écoulèrent et mon corps semblait meurtri par un étrange mal. Un mal que Sakari diagnostiqua sans peine. Sakari était la jeune femme qui m’avait ramassé bien des années auparavant, aujourd’hui devenu mère de notre maison, elle remplaçait celle qui m’avait jugé tant de fois. Me jugeant à présent  elle observait mon ventre qui s’était arrondit.

« Tu ne comprends pas…Tu ne peux être une esclave de lit et être Maman ! »

La déception dans son regard se mêlait à tellement de tristesse que j’étais incapable de savoir si elle m’en voulait ou si elle cherchait à me protéger d’un quelconque mal. Nous voyageâmes ensemble, dans une autre maison, j’y fut presque séquestrée, interdite de voir personne d’autre que la visite d’un mestre et celle de Sakari. Plus les moins passaient et plus mon ventre s’arrondissait sous mes yeux. Je sentais la vie en moi, les coups, et j’avais presque l’impression d’entendre les battements de son cœur.
Sa naissance arriva au bout de long mois de dur labeur, la douleur était intense, mais j’avais bien trop fierté pour l’exprimer, Sakari était là, tenant ma main, chantant pour calmer la douleur, et je pleurais…
Je pleurais non pas parce que je souffrais, mais parce que je savais que l’enfant qui naissait à présent ne grandirait jamais à mes côtés.

« C’est une fille »

M’annonça-t-on avant de me la poser dans les bras. Et alors que je l’observais m’agripper le doigt, je posais les yeux sur Sakari, comprenant à présent…Toute les conséquences de mon choix.
Je ne pouvais me permettre de la garder, ni même me permettre de l’abandonner comme avait pu le faire mes parents, être courtisane signifiait qu’une chose, renoncer ce à quoi j’avais toujours espérer : l’amour.
Garder ma petite fleur à mes côtés, en faire une courtisane, serait lui ôter cette unique chose qui bien plus d’importance que n’importe quel autre richesse, n’importe quel enseignement…L’amour…

C’était sa qui rendrait demain meilleur.

« Laisse-moi...L’emmener avec toi…Lui dire au revoir… »

Elle acquiesçait, on me laissa que trois jours en sa compagnie, la nourrissant au lait de chèvre pour qu’elle s’habitue directement à son gout…Pour ne lier aucun lien avec elle m’avait dit Sakari. Sur la plage, elle m’assurait une énième fois que l’homme qu’elle avait engagé, un client de longue date, amènerait ma fille chez son père, elle serait saine et sauve, ignorant tout de moi, mais c’était la promesse d’une vie meilleure.

J’attendais, sur la plage la petite barque qui arrivait au loin, berçant ma petite fille. Réprimant mes sanglots, comme je l’avais toujours fais, c’était en silence que je pleurais.
Elle me regardait avec angoisse, persuadée que je ne serai pas capable donner ma fille, prête à me l’arracher des mains s’il le fallait. Pourtant, lorsque l’homme arriva, c’est presque naturellement que la déposa entre ses mains. Posant mes lèvres sur le front du bébé :

« Au revoir…Alyss… »

Alyss…Le nom de cette femme aveugle, celle qui m’avait vraiment donner l’espoir…
Que demain…Serait un jour meilleur.

Observant mon enfant me quitter, je fus incapable de m’éloigner de cette plage avant que la barque ne disparaisse, avant que le bateau ne disparaisse de l’horizon. Et lorsque ce fut fait, la nuit était à nouveau là. J’ignore ce qui me poussa à me pencher vers le sable, ramassant un coquillage, je retournais à mon monde, mon secret, le coquillage à la main…

Le regardant…

Demain…Sera un jour meilleure…
Pour toi…Alyss…


Personnalité

Jeune, Kashina se montrait naïve, un peu rêveuse et romantique. Elle a gardé cet aspect de sa personnalité, se mêlant étrangement à quelque chose de très terre-à-terre. Elle a accepté sa condition d'esclave il y a bien longtemps, car ce fut un choix et parce qu'au fil des années, Kashina ressenti une réelle satisfaction à offrir ses services pour ceux et celles qui le demandait. Mettant un point d'honneur à marquer ses clients de la meilleure des façons. Jeune, elle était légèrement impulsive, se laissant aller à quelques envies du moment, aujourd'hui adulte, elle a gagné en maturité et en réflexion. Ses réactions sont dictées parce qu'elle voit et ressent de la part de la personne qui demande sa compagnie, ainsi Kashina s'adapte, capable de prendre de nombreux masques pour satisfaire aux mieux sa clientèle.

La particularité de la jeune femme est son amour sincère pour une partie de sa clientèle. Peut-être était-ce le manque d'affection qui à fait qu'aujourd'hui, Kashina est une femme débordante d'amour. Elle a pour habitude de d'écrire l'amour comme un diamant, brut, beau, aux différentes facettes pour différente façon d'aimer.

Les années et son éducation dans la maison de joie dans laquelle elle a grandi et apprit, on nourrit et affectionner sa croyance inébranlable pour le Dieu rouge. Estimant aujourd'hui que les malheurs qui ont parsemé sa vie étaient indispensables pour qu'elle devienne ce qu'elle est aujourd'hui et puisse offrir un instant de bonheur à ceux qui en ont le besoin. Elle aime ce dieu pour l'amour qu'il lui témoigne chaque jour en la protégeant, voyant dans les instants cruciaux de sa vie des signes de son attention à protégée celle qui souhaite offrir autant d'amour qu'il veut en voir.
Si elle a gagné en maturité et en calme, il n'est pourtant pas rare que l'impulsivité de sa jeunesse refasse surface lorsque la situation semble lui échappé.

Malgré tout l'amour qu'elle porte à son métier, Kashina nourrit la secrète envie d'être entièrement indépendante, de pouvoir simplement choisir qui, quand, comment, enviant les légendaires courtisanes de Braavos.
Ses choix de vies sont souvent dictés par sa gentillesse naturelle ou son amour parfois irraisonné.

Il s'agit d'une artiste accomplit, aimant à prendre, capable de voir l'art et la beauté dans beaucoup de choses même là où personne ne semble véritablement la percevoir. Musicienne, danseuse, peintre, chanteuse ou interprète, elle deviendra ce que vous souhaitez, tentera toujours de pleinement vous satisfaire tout en y laissant sa propre touche personnelle.

Sa sincérité, pourtant, se mêle étrangement dans un voile de mensonge, son métier lui demandant parfois d'être quelqu'un qu'elle n'est pas réellement, mais elle sera toujours animée par son envie de faire les choses bien. Elle supporte que difficilement l'idée de décevoir, qu'il s'agit de son client ou de sa maison.


Physique

Belle ? C’est une qualité indispensable pour exercer son métier. Mais la beauté a toujours été quelque chose d’extrêmement subjectif, et Kashina en est parfaitement consciente. Elle sait pertinemment que ses longues jambes aussi fine et galbé puisse être ont le défaut d’être aussi blanche que le lait malgré l’aride soleil au-dessus de leur tête. Sa beauté est constamment travailler, ses cheveux longs et blonds sont toujours impeccablement coiffés, ses yeux bleus sont parfois cernées de pigment coloré, poudre qu’elle laisse parfois glisser d’un pinceau à sa peau, sa beauté est similaire à une œuvre d’art et au final, toute les esclaves de lit sont juger ainsi : comme des œuvres d’art. Si certains hommes préfères les jeunes femmes bien en chair, témoignant d’une grande fertilité, Kashina reste fine, terriblement mince, judicieusement musclé par endroit, car comme toute sculpture, il faut savoir où tailler, quoi former, quoi dessiner. Fine et grande, elle est à l’image de l’art auquel elle excelle le plus : la danse.
Ses petits pieds, aux pas léger, sa grande souplesse, la couleur laiteuse de sa peau, toute cette pâleur ne fait que ressortir les quelques couleurs qu’elle portera à travers ses vêtements ou la poudre pigmenter qui cernera délicatement ses yeux.

Telle une œuvre d’art, Kashina est victime du regard des autres, pouvant plaire à certain, déplaire à d’autre, d’un point de vue purement physique, elle possède une beauté bien typique de Lys. Elle n’a rien de véritablement exotique, elle aurait même tendance à se penser ordinaire, là où il y a une sorte d’alchimie qui se forme c’est lorsqu’elle se donne corps et âmes à la danse, à la musique ou encore à la peinture. Une aura alors semble presque l’envelopper, dans un tout autre monde, Kashina dégage un charisme sans pareil lorsqu’elle fait son "show". Et c’est là où réside le véritable secret de sa réussite, ou de sa beauté.

Son regard est ce qui captivera en premier, exprimant un regret presque éternel. Insondable, il est difficile de pouvoir véritablement mettre des mots à ce que l’on peut voir au travers des iris de la jeune femme. On ressent alors une profonde nostalgie, on y voit une forme de tristesse, mêlé à une force étrange. Son regard semble presque froid par moment, cachant un terrible et lourd secret, cachant une partie d’elle-même, une véritable porte fermé à double tour. Attisant alors tout le mystère qui entoure déjà cette jeune femme. Attisant, la curiosité…


Joueur

Cf Luna

Moi, Luna, je certifie sur l'honneur avoir plus de 16 ans et
avoir pris connaissance du règlement interne du forum.

© Ashara pour GoT Chronicles grâce à un tutoriel d'Orange de CSSActif



Dernière édition par Kashina le 22.05.14 23:40, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 20:58

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 21:26

Merci beaucoup !
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 22:38

Bienvenue parmi nous, et bonne chance pour ta fiche. Si tu as la moindre question ou le moindre petit problème, n'hésite pas. Après tout, le staff est aussi là pour ça.
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 23:05

Ma petite Maman T_T Tu m'achèves avec ton histoire T_T

Mais re-bienvenue quand même Very Happy
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime02.12.12 23:06

calin
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime08.12.12 14:05

Il ne me reste plus que le physique à faire, ça devrait être fait d'ici demain
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime08.12.12 15:05

Bienvenue!
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime09.12.12 19:45

Fiche terminée =D
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime09.12.12 20:43

Nickel, parfait rien à redire !
Validé et n'oublie de recenser ton vava et ton DC^^
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime16.09.13 0:19

Fiche modifié:

- MAJ du code ^^
- Légère modification de l'histoire, après discussion avec Ash' je me suis rendu compte que Kashina ne pouvait pas être une Courtisane de Braavos dans le sens où elle n'était pas originaire à Braavos et surtout qu'elle n’exerçait par son métier de manière indépendante ( elle travaillait pour une maison, remboursant la dette ( justifiant son éducation, son loyer, son apprentissage, etc etc ) à l'instar des Geisha ). Après recherche, on a convenu que Kashina était originaire de Lys et était donc devenue une esclave concubine. Cela ne change pas vraiment grand chose à l'histoire globale du personnage Wink
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime22.05.14 23:40

Fiche modifié:

J'ai MAJ le caractère de Kashina, le personnage ayant prit une tout autre évolution que ce que j'avais imaginer à la base, je souhaitais donc rectifier cela dans sa fiche.
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MessageSujet: Re: Kashina...Danseuse sacrée Kashina...Danseuse sacrée Icon_minitime

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Kashina...Danseuse sacrée

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