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L'espoir d'une renaissance...

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MessageSujet: L'espoir d'une renaissance... L'espoir d'une renaissance... Icon_minitime08.04.14 14:00

An 289, Septième Lune, Semaine 3

Il est des existences singulières, durant lesquelles la vie vous pousse à croire qu’elle vous a tout donné, tout offert, sans compromis, ni contreparties, et qu’elle vous a fait don de tous les bienfaits auxquels on peut croire et par lesquels on se berce de l’idée d’être bien né, heureux et sans réserve...

Mais le destin est ainsi fait qu’il se plaît à prendre parfois à certains de ses enfants l’intégralité de ce qu’il leur avait consenti en les mettant au monde. Willos Tyrell venait d’en faire l’amère constatation à travers le douloureux apprentissage que la vie venait de lui offrir. Le tournoi de 288 et l’accident survenu lors d’un assaut contre Oberyn Martell avaient fait s’écrouler l’existence de l’héritier de Hautjardin. Une fraction de seconde avait suffi à faire basculer sa vie dans l’ombre en même temps que ses illusions dans l’abîme. Et tout cela sonnait pour lui comme la plus cinglante des leçons dont il avait jamais été gratifié.
A quinze ans il s’était soudainement retrouvé abattu en pleine ascension, coupé dans son élan vers des sommets qu’il commençait à toucher du doigt et qui se refuseraient désormais à lui, pour toujours. C’est en tous cas ainsi qu’il voyait les choses, aujourd’hui, quelques mois après son accident, et bien que la médecine administrée par les meilleurs mestres de la Citadelle de Villevieille et convoqués par Mace Tyrell à Hautjardin lui ait permis de recouvrer en partie l’usage correct de ses membres inférieurs.
Sur les conseils avisés de Lord Ambrose, devenu l’un de ses confidents et presque comme un père de substitution à celui qui ne le regardait plus depuis son accident, Willos avait décidé de reprendre en main son destin. Il travaillait sur lui-même, et tentait de se reconstruire, en un harassant travail quotidien et personnel. L’une des étapes qu’il s’était fixée, était de contacter le Prince Oberyn afin de lui exprimer ce qu’il ressentait à propos de l’accident.

C’est ainsi qu’il avait pris la plume, ce matin-là, et s’était attablé à son écritoire avant de s’atteler avec minutie à la rédaction d’une brève missive à l’attention de la Vipère Rouge.


~ De Willos Tyrell de Hautjardin à Oberyn Martell, de Lancéhélion.

Prince Oberyn,

Je vous écris près d’un an après notre première et seule rencontre car il me semble que c’est là une chose dont j’ai besoin. Je ne vous demande pas de comprendre cette démarche étrange mais seulement de la recevoir, comme elle est.
Depuis le tournoi durant lequel nous nous sommes rencontrés ma vie est devenue misérable et sombre. La lumière et l’excellence que je visais jadis ne sont plus que de lointains et vagues souvenirs qui m’étreignent parfois, lorsque doute et nostalgie se plaisent à me torturer…

Je crois avoir besoin de vous écrire pour commencer ce combat contre moi-même et initier aussi un peu le deuil de celui que je fus avant que nos routes se croisent…

Je n’attends pas de réponse de vous et ne vous tiendrai aucunement rigueur d’un éventuel silence de votre part. Il fallait juste que je vous dise un peu que je me bats pour rester un vivant parmi les vivants. J’entre en guerre contre mes fantômes et ceci doit m’y aider.

Willos Tyrell ~




Willos ne savait que trop bien qu’elles étaient les relations entre le Bief et la principauté de Dorne. Et il n’appréciait pas que son père ce soit servi de son malheur pour incendier un peu plus la diplomatie vacillante qui tenter d’exister maladroitement entre les deux territoires.
Lord Mace avait changeait depuis l’accident. Et en même temps que sa jambe, Willos semblait avoir perdu tout attrait à ses yeux. Lord Ambrose s’était montré présent à ses côtés et le Sire d’Ambroisie et l’héritier de Hautjardin avaient même établi une correspondance salvatrice pour le second. Willos retrouvait en Arthur le père qu’il voyait disparaître peu à peu et cela lui faisait un bien fou. C’était sur les conseils de Lord Ambrose qu’il avait d’ailleurs trouvé le courage de prendre la plume pour écrire à la Vipère Rouge.

Willos se doutait que le Prince de Dorne ne répondrait certainement pas à cette brève missive. Mais, même s’il gardait secrètement un espoir qu’Oberyn le surprenne sur ce point, il s’était déjà préparé mentalement à affronter les jours sans aucune réponse venant de Dorne.
C’était ainsi. Et sa renaissance semblait devoir en passer par là.


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Oberyn Martell
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MessageSujet: Re: L'espoir d'une renaissance... L'espoir d'une renaissance... Icon_minitime19.04.14 19:58

Le soleil se levait sur Lancehélion. Son ardente lumière s'apercevait au loin, montant peu à peu pour commencer à éclairer Palais-Vieux, lui redonnant sa splendeur et tout l'éclat qu'il perdait durant chaque nuit. Le Prince Oberyn était déjà levé, depuis quelques temps, ne parvenant pas à trouver le sommeil qu'il espérait, et ce depuis déjà de longues années. C'est un Prince à la mine blafarde qui se trouvait là, sur le fauteuil écarlate de ses appartements privées. La pièce était plongé dans le noir, à peine éclairé par les quelques lueurs que les rideaux laissaient passer. Le dos cambré vers l'avant, les mains liés entre ses jambes écartés, tenant une petite fleur blanche dans sa main. C'était sa fille, Tyerne, âgé de 12 ans, qui la lui avait offerte la veille. La Vipère Rouge la regardait, sans but, ne se souvenant même pas l'avoir sorti de sa poche. Cela lui arrivait souvent, depuis la mort de sa sœur, il y avait déjà 6 années, mais elle était resté aussi vive dans son esprit que si l'on lui avait apporté la nouvelle le matin même. A vrai dire, dans bien des années, il doutait que cela puisse changer, le souvenir d'Elia était impérissable dans ses pensées. Le regard toujours sur la fleur, il se souvint de l'amour qu'avait sa sœur pour elles. Celle-ci, c'était sa 3eme de ses 6 filles qui la lui avait donné. Oberyn les aimait, toutes, de tout son cœur, et bien qu'il leur donnerait à toutes la même éducation, celle de vivre libre et pour le plaisir, sans intervenir de quelque façon que ce soit dans leur choix de vie, il savait que jamais ils ne les laisseraient finir comme Elia. Le Prince fut interrompu dans ses pensées par du bruit venant de la porte, quelqu'un tapait.

- Je suis la..

A l'entente de la voix de son Prince, le mestre de Lancehélion entra, doucement. C'était Caleotte, le mestre personnellement attaché au service de son frère Doran pour s'occuper de lui et rendre la goutte moins pénible. Il était petit, gros, et déjà assez vieux pour que ses cheveux aient viré au gris. Cependant, il gardait toute ses facultés physiques et mentales, et il était totalement fidèle aux Princes de Dorne.

- Prince Oberyn.. Il faut que vous laissiez entrer la lumière, vous ne pouvez pas rester dans l'obscurité.

Caleotte se dirigeait déjà vers les fenêtres, sans attendre la réponse de son Prince, il faisait ça pour son bien. Il le connaissait depuis longtemps déjà, et étant arrivé jeune à Lancehélion, il avait connu la Vipère Rouge dans sa jeunesse. Le mestre savait bien que ce Prince n'était plus celui qu'il avait connu jadis, dévoré par un désir de vengeance et un deuil non accomplie. S'il voulait le redevenir, Oberyn devait relever la tête, sans rien oublier, il ne le pourrait pas. Les hommes responsables de ce carnage paieraient, un jour. Les Lannister n'étaient pas les seuls à payer leur dettes. Caleotte s'approcha de son Prince, qui n'avait pas bougé, la lumière ayant maintenant envahie la pièce de toute, la réchauffant de sa chaleur déjà tellement vive à une heure si matinale. Il s'appuya sur le haut du siège, et se baissa vers lui, en lui tendant une lettre. Alors qu'Oberyn tournait la tête en haussant le sourcil vers le mestre, celui-ci reprit, d'une voix lente.

- C'est une lettre venue de Haut-Jardin, mon Prince. Elle porte la rose des Tyrell. La lettre vous ai spécialement adressé.

Le Prince Oberyn s'étonna d'autant plus, en se relevant doucement sur son siège, et en prenant la lettre de la main du mestre. Que les Tyrell envoient une lettre ne présageait pas vraiment d'une bonne nouvelle. Le Bief et Dorne ayant gardés une très sévère rancune et animosité depuis des générations, il était rare de recevoir des lettres de ces "ennemis". Du moins, c'était ce que ressentait le petit peuple de ces deux contrées, les nobles partageant souvent ce même avis, parfois avec plus de passion encore. Oberyn n'était pas vraiment de ceux la. Il ne portait pas les bieffois dans son coeur, mais au même titre que la majorité des gens des autres royaumes. Leurs guerre avait couté bien trop cher aux dorniens, et il ne lui arrivait plus vraiment de quitter sa terre natale depuis la rébellion. Si les Tyrell leur envoyait une lettre, cela devait avoir son importance. Oberyn déchira alors le sceau, et en sortit la lettre. Il l'a lu d'une traite, et se posa au fond de son siège. C'était Willos Tyrell, l'héritier de Haut-Jardin et du Bief. Et ce Tyrell n'était pas n'importe lequel pour Oberyn, ils s'étaient déjà rencontrés, lors du tournoi de 288. Willos était un jeune homme d'une quinzaine d'années, aux cheveux châtains et bouclés, comme nombre de membre de cette famille. Il participait à son premier tournoi ce jour là, alors qu'Oberyn avait déjà connu des guerres, s'était déjà battu sur l'autre continent. Il aurait du simplement connaître une défaite ce jour la, se battre contre quelqu'un de plus d'expérience pour devenir meilleur, et plus tard un grand chevalier. Malheureusement pour lui, l'assaut d'Oberyn avait mené à un accident, le jeune homme finissant les jambes écrasés sous son cheval. Le Prince y pensait souvent. Il avait brisé un jeune homme en pleine ascension, et ne l'avait jamais revu depuis ses cris de douleurs lors du tournoi, des hommes l'emmenant pour se faire soigner. Willos n'était pas mort, c'est tout ce qu'il savait. Oberyn aurait pu chercher de ses nouvelles, il ne l'avait pas fait. Trop occupé à se morfondre et à se tuer d'un désir de se venger. L'ancien homme qu'il était l'aurait fait, lui, et le Prince en venait à se demander si cet homme était vraiment perdu.

Ainsi, Willos Tyrell était en aussi piteuse état que lui, si ce n'est pire. Il se demanda alors comment il pourrait trouver les mots pour lui répondre, pour l'aider à se remettre, alors que lui même n'était qu'une ombre. Oberyn retourna alors la lettre vers son mestre.


- Je répondrai plus tard, Caleotte.. Vas t'occuper de Doran.

Le mestre acquiesça d'un hochement de tête, et après s'être incliné légèrement en guise de révérence, sortit par d'où il était venu. Oberyn laissa donc passer encore quelques longs moments, dans ses pensées, avant de se relever subitement, et alla s'assoir devant son bureau. Il prit une lettre, une plume, et se mit à écrire sans s'arrêter.



Messire Willos Tyrell, héritier de Haut-Jardin.

Je ne sais par où commencer, ni quels mots choisir pour m'adresser à vous en cet instant. J'entends votre souffrance, et je la comprend. Bien que je n'ai pas, comme vous, perdue l'usage de mes jambes, l'homme à qui vous vous adressez fera un piètre conseiller de réconfort, je le crains. Cependant, bien que ça ne soit pas le but de votre missive, je tiens à vous formuler mes excuses. Je vous ai privé de cette lumière et de l'excellence dont vous parliez, celle que vous désiriez, et bien que ça ne fut à aucun instant mon intention, j'en assume tout les torts. S'il y ai quoi que ce soit que je puisse faire pour vous aider, vous trouverez un fidèle ami à Dorne, je vous le dois. Ainsi, vous ne trouverez en ma personne aucune de cette hostilité que nos peuples se vouent, à mon grand regret.

Ce deuil et ce combat que vous menez, j'aimerai vous aider à les surmonter. Sachez que la lumière et l'excellence peuvent toujours être atteint, et que celles des combats et des tournois ne valent rien, si ce n'est pour une juste cause. Si je l'avais compris plus tôt, ce regrettable accident ne serait jamais arrivé. Vous serez un jour amené à diriger Haut-Jardin et le Bief, et les hommes choisis pour régner trouvent leur valeur ailleurs que dans les faits d'armes, vous avez bien plus à accomplir. Si je peux vous aider en cette œuvre, je le ferai. Il est grand temps de cesser ces hostilités entre nos deux régions, et vous êtes le plus bel exemple que le Bief puisse espérer en la sorte.

Sachez que je vous accompagne dans les évènements à venir, et que j'espère que nos courriers se poursuivront. Si je vous ai prise vos jambes, il est de mon devoir d'essayer d'affuter votre esprit.

Prince Oberyn de Dorne



Oberyn posa la plume, et enveloppa la lettre, la refermant du sceau des Martell, le Soleil percé d'une Lance. Il se leva et sortit aussitôt de ses appartements, pour aller retrouver le mestre, qui était près des appartements de Doran, comme à son habitude. Il lui donna la lettre et l'envoya la donner à un corbeau dès qu'il en trouverait le temps. Oberyn se sentait mieux après tout ça. Il pensait chacun de ses mots, et espérait pouvoir entretenir cette relation entre Willos et lui. S'il pouvait l'aider, il était de son devoir de le faire. Aussi mal que se trouvait la Vipère Rouge, il y avait en cet instant plus mal que lui. Et de prendre cette position, se rappeler ses fautes et ses devoirs, cela le faisait redevenir en cet instant un peu l'homme qu'il était autrefois. Peut être que le jeune Tyrell n'était pas le seul à chercher une renaissance.
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MessageSujet: Re: L'espoir d'une renaissance... L'espoir d'une renaissance... Icon_minitime23.06.14 18:16

Cela faisait plusieurs semaines que Willos avait entamé un long et douloureux processus de reconstruction comme un combat contre lui-même.
Les correspondances qu'il avait entreprises l'aidaient à placer des mots sur ses douleurs et ses doutes, sur ses peines et ses incompréhensions, sur ses peurs et ses questionnements.
Les contacts réguliers avec Lord Ambrose lui apportaient un réconfort sans égal et le jeune homme trouvait en le Sire d'Ambroisie ce père qui lui avait tourné le dos après son accident… Lord Mace n'avait plus les mêmes attentions pour son fils. Et le jeune héritier de Hautjardin avait beau refuser d'y penser, cette attitude brutale et soudaine le blessait terriblement.
Pourtant, comme tout un chacun, il mettait un point d'honneur à ne surtout rien y laisser paraître, et à ne donner à voir aux gens de son entourage que le visage souriant de celui qui doit être reconnaissant envers la vie et le destin pour lui avoir consenti la survie là où d'autres auraient connu le trépas.
Mais quelle joie pouvait-il bien ressentir à se voir ainsi alité et dans l'incapacité de bouger ? Le grave accident dont il avait été victime ne l'avait certes pas tué mais lui avait pris sa mobilité et il n'avait toujours pas quitté le lit de convalescence depuis le premier jour pendant lequel il y avait été déposé, inconscient, après plusieurs jours de voyage en calèche depuis le lieu du drame.

La plume qui noircissait le vélin ce matin-là était celle, vive et intriguée, qui répondait au Prince de Dorne Oberyn Martell.
Contre toute attente ce dernier avait répondu à la missive de Willos et les mots qu'il avait eu pour lui avait su trouver le chemin du coeur de l'héritier de Hautjardin.

Après quelques jours passés à mûrir mentalement un embryon de réponse, Willos posait enfin sur papier ce qu'il tenait à lui répondre.



~ De Willos Tyrell de Hautjardin à Oberyn Martell, de Lancéhélion.

Prince Oberyn,

si j'ai été surpris de recevoir une réponse de votre part, je dois vous avouer que votre pli m'a fait grand plaisir. Je n'ai pas de honte à l'avouer.
S'il est vrai que je vous ai écrit avant tout pour moi-même, l'idée que vous pouviez éventuellement me répondre me séduisait assez ; bien qu'elle consistât longtemps comme une éventualité des plus hypothétiques.
J'ai puisé dans votre message un certain réconfort, et ai noté aussi votre proposition de vous engager auprès de moi comme un fidèle confident et un ami sincère.
Je dois vous dire à quel point vous me surprenez. J'avais tout entendu sur vous mais pas encore cela. La capacité d'un homme d'armes reconnu à savoir faire preuve d'humanité et de bienveillance.

Comme vous l'avez si bien relevé, les relations entre nos deux territoires sont depuis longtemps fort complexes, pour ne pas dire tendues ou froides.

Je trouve donc surprenant et admirable qu'un homme de votre importance accepte de nouer relation avec un homologue biefois.
Mais c'est sans doute moins surprenant si l'on considère cela sous un angle différent. Vous semblez être un homme d'une grande expérience et très cultivé pour être en capacité à réagir de la sorte.
Aussi, je tiens à vous confirmer qu'il me plairait beaucoup de trouver auprès de vous le correspondant régulier et fiable que vous semblez proposer.

Puis-je commencer, si ce n'est pas indiscret, par vous demander des nouvelles de Dorne et de Lancéhélion ? Il se dit dans le Bief que les échanges commerciaux institués par votre frère le Prince Doran semblent porter leur fruits et que Dorne se tourne vers Essos…
Et vous ? Comment avez vous fini le tournoi ? Je n'ai même pas pu évoquer votre nom sans que le Bief entier ne s’enflamme pour réclamer votre tête… Avez-vous bien figuré ?

J'espère que je ne vous importune pas avec mes questions… De toutes manières, si nous devons entamer une relation amicale basée sur la confiance, je suppose que vous me direz s'il y a des questions auxquelles vous souhaitez ne pas répondre !

Recevez mes salutations sincères.

Willos Tyrell ~





Le Tyrell posa sa plume et relut sa missive avec attention avant de la cacheter de la Rose d'Or de sa Maison. Il posa le pli sur le dessus de la pile de courrier qu'il achevait de rédiger et composa mentalement un argumentaire construit et irréfutable après lequel mestre Lomys ne pourrait tergiverser à l'envoi vers Dorne.
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