Le Jeune Crabe



Les cris d'un enfant raisonnent à Pince-Isle, les gens de La maison Celtigar attendaient ce jour depuis longtemps. Il est présenté à son père, Lord Almarik Celtigar. Un homme d'une trentaine d'années, il observe l'enfant, le jaugeant pour voir s'il fera un bon héritier après un regard rapide, il est satisfait et pousse un « mon fils !» Tous les membres de la maison applaudissent et poussent des cris de joie. Lord Celtigar n'avait rien eu jusqu'ici hormis une fille. Il avait enfin un héritier de son sang. Un héritier du sang de l'antique Valyria.

Six ans plus tard


L'oriflamme du lion flotte paisiblement devant les portes de Port Real, toute l'armée des terres de l'ouest se tenant derrière. Lord Almarik les jaugent, les remparts sont solides... Ils pourraient tenter de défendre la ville. Les Lannister ne s'empareraient pas si facilement de la cité d'Aegon. Il se retourna lorsque des troupes de la ville accoururent pour ouvrir la porte. Grave erreur, les Lannister se jettent comme une marée de bête sur l'entrée et commencent à massacrer tout ce qui passe à leurs portées. Lord Almarik fonce à travers les rues de la ville suivie d'une vingtaine de cavaliers portant l'emblème de la maison du crabe.
Il arrive dans la cour les chocs métalliques raisonnent, de nombreux hommes d'armes s'opposent. Il faut quitter la cité au plus vite. Elle ne tiendrait pas et les nouveaux souverains n'aiment pas trop les vassaux de leurs anciens rivaux. Almarik se jette et commence à monter les escaliers embrochant tout homme qui lui barre la route. Il se jette dans les appartements de sa maison. Sa femme et son fils sont toujours là. Il se tourne vers la porte et incite sa femme à le suivre. Ils se précipitent dans les couloirs suivirent des hommes d'armes, des servantes et serviteurs de la maison Celtigar. Deux vaisseaux les attendaient au port près à partir. Ils se taillèrent un chemin jusqu'à la cour lorsque des archers Lannister commencent à dépasser du créneau derrière eux. Il commence à tirer sur les fuyards, la porte se trouve devant eux, elle mène à un escalier qui leur permettra de gagner une porte dérobée et fuir vers le port. Plusieurs fuyards s'écroulent d'autres cris où gisent blessés. Il ne faut pas s'arrêter les Lannister sont sur leurs talons. Ils entrent dans l'Entrée comme un gigantesque torrent. Des hommes d'armes barricadent la porte derrière eux. Ardrian et Baldrik les deux frères du Lord se propose de défendre la porte avec leurs hommes. Ils restent en arrière pour couvrir la fuite de leur frère. Almarik, lui doit conduire son peuple en sécurité. Il continue à avancer lorsque après un regard en arrière Almarik remarque que sa femme peine. Une flèche lui transperce le flanc, il s'arrête auprès d'elle lorsque les lanciers des Lannister bloquent l'autre côté un violent corps-à-corps s'ensuit mais, Lord Almarik n'y prend pas part il observe son fils qu'il prend des bras de sa femme qui vient de mourir observant l'autre côté, des lions arrivent aussi. Ils sont cernés dans les couloirs. Almarik hurle      

Le crabe se rend !


Les Lannister se saisissent de Lord Almarik, de ses chevaliers et de leurs hommes d'armes. Ils les mènent jusqu'à la grande salle du trône, jonché de cadavre... Il rejoint ses deux frères et leurs hommes enchaînés comme eux et à genoux. Il s'avance et d'un seul mouvement les trente hommes posent les genoux à terre. Tywin Lannister se tourne vers eux les jugeant d'un air hautain. Almarik soutient son regard. Les parjures n'ont pas le droit au respect. La sentence est lourde pour la maison Celtigar.

Alors, Almarik! Pour avoir soutenu le roi fou... Je vous condamne au mur ou à la mort. Votre fils sera otage pour garantir que la maison Celtigar ne tente pas de se rebeller contre , les sept couronnes pendant ce temps votre domaine sera sous contrôle de votre cadet Ser Ardrian jusqu'à la majorité de votre fils.

Ardrian ne répond rien. Il sait qu'il est obligé d'accepter ces conditions et il sait qu'il est obligé de laisser son fils aux mains de son ennemi. Ils se laissent entraîner par deux soldats vers les cachots suivis de ses frères et des hommes d'armes. L'enfant fut confié à Jon Arryn du val. Il devait s'occuper de l'éducation de l'enfant. Frederik Celtigar reçut donc une très bonne éducation. Il était appelé à gouverner une des maisons les plus importantes du royaume et Jon Arryn lui en donnait les moyens. Il y passa quinze années jusqu'à ce qu'une fois atteignît sa majorité.

Il décida de retourner au fief de ses ancêtres. Il s'aperçut vite sur les terres imposantes de ses ancêtres que les maisons vassales de sa maison ne la respectait pas...Il devait absolument remédier à ce problème. Son père avait commencé à envisager des plans pour soumettre les vassaux à la maison Celtigar. Toutes les méthodes pour leur faire plier les genoux devraient être utilisés. Il se devait de garder l'unité dans son futur fief et de s'assurer que ses futurs vassaux lui étaient loyaux. Il parla à son oncle d'une possible alliance avec la maison Staunton. Lord Ardrian offrit sa soeur Allyn à son meilleur amis: Karl Staunton s'assurant une armée plus grande et un nouvelle allié près de pince-île. Il s'assura aussi le soutient de son vassal la méconnue maison Brune de Repayre en le corrompant . Ses deux oncles s'assurèrent le soutient des maisons Pynéde et Tourbier grâce à des compromit sur les droits de la maison Celtigar sur les taxe et la limitation de leurs pouvoirs sur leurs terres mais, la maison Crabbe et la maison grotte ne cessent d'agiter les autres maisons pour saccager l'entente fragile que leur suzerain essaye d'instaurer, la maison Tourbier étant proche de la maison Grotte on ne peut pas vraiment penser que la maison Tourbier n'est pas l'allié en secret de la maison grotte et qu'il serait prêt à se rebeller contre la suprématie des Celtigar sur la Presque-île. Grâce à ces nouvelles alliances le pouvoir des Celtigar était maintenu partiellement sur la presqu'île de Claquepince.  Frederik avait néanmoins de plus gros dilemme à résoudre... Devait-il suivre ce que disait Jon Arryn et rester fidèle au roi Robert, car c'était le roi qu'il fallait aux sept couronnes malgré qu'il ait condamné son père à l'exil ? Ou devait-il se préparer en vue d'aider les héritiers Targaryens qui avait disparu après la bataille de Port réal ? Il ne savait quoi faire. Il ne n'avait pas encore envis de prendre le caps des milliers de comploteurs du royaume... Il devait déjà s'assurer de la mort de son oncle de la loyauté de ses vassaux et de relancer l'économie de l'île en déclin.

Un voyage à Port Real s'impose donc. La maison Celtigar commençant à développer sa compagnie commercial qui était en siège à la capitale. Il devait s'y rendre pour acheter des navires et permettre à la compagnie de se lancer enfin dans le commerce avec les cité Libre et qui sait redonner grâce aux bénéfice la grandeur d'antan de Pince-Isle ? Avec l'argent du trésor de la maison cela serait un judicieux investissement une fois racheté à bas prix ou à prix raisonnable ces navires pourraient rapporter beaucoup plus bien utilisé.

Lequel se ferait en premier ? Deux factions commençaient doucement à naitre au sein du conseil, celle qui voulait rester fidèle au roi et celle qui souhaitait rechercher les enfants Targaryens pour les remettre sur le trône. Frederik n'avait pas encore pris son choix. Il observe la baie sur le pont de son navire Le Prince Rouge... Il attendait, réfléchissant .Devait-il suivre les conseils de Jon Arryn ou suivre la voie de son père ? À quoi servira son futur argent ?

Il gardait aussi à l'esprit que petit à petit Lord Ardrian n'était plus que l'ombre de lui-même, il ne sortait plus de la salle du trésor sauf pour manger et dormir dans son lit de temps en temps. Il passait son temps à compter ses pièces d'or et ne voulait pas qu'on le dérange pendant cette activité. Une maladie de l'esprit s'était emparée de lui. La maladie de l'or était devenue chez lui une passion dévorante... L'heure approchait et le prochain voyage jusqu'à Port Real serait décisif pour l'avenir des Celtigar. Leur Lord devait mourir, il affamait son peuple et révoltait ses propres vassaux qui devait déjà fomenter des complots contre la maison. Plus il laissait ce Lord amoindris au commande de la maison plus tout les efforts et ce qu'ils avaient tenté pour restauré l'unité de la presque île commençait à se noircir doucement... Et si cela continuait les « Alliées » d'hier pourraient devenir les ennemis d'aujourd'hui...Frederik saurait garder les rennes du pouvoir mieux que lui. L'heure du complot approchait. Il ne le faisait pas simplement pour lui mais, pour tous les fils de Pince-Isle.  

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