« Hum, c'est bon … Continue, mon amour ... »

Les assauts que subissait la sublime rousse était de plus en plus brutaux, de plus en plus rapide. Mais elle ne ressentait rien, mise à part une certaine gène d'avoir ce gros tas sur et en elle. Cela faisait bien dix minutes qu'elle était ainsi chevauchée, elle en dessous, voyant les seins d'hommes bouger comme la marée, faisant des allers, des retours … Heureusement pour Ross, elle n'éprouvait nullement le mal de mer. Bien entendu, elle simulait, comme avec beaucoup de clients de toute façon. Un bruit signifia sa délivrance, comme le mugissement d'un buffle utilisant toute sa force pour réussir sa tache. Elle ressentit également au fond d'elle le liquide séminale de son partenaire d'une passe. Il n'était pas trop tôt ! Et lui, qui était fichée en elle comme une flèche dans sa cible, suant comme un goret après avoir couru sur trente mètres … Si elle voulait vraiment travailler avec des porcs, elle aurait continuer dans la ferme familiale. Mais la vie n'est pas toujours ce qu'on croit, et encore moins ce qu'on espère.

Finalement, l'homme quitta cette étreinte monnayée, et pris une gorgée de vin dans son godet, donna la pièce qui était destinée à la jeune rousse, et se rhabilla, embrassa goulûment la catin, qui sentait sur sa peau si douce, si belle, si entretenue la barbe grossièrement taillée de cette brute, et elle répondit à l'affirmative quand le garde déclara qu'ils se recroiseraient la semaine prochaine. Elle déclara qu'elle serait enchantée, même si c'était un honteux mensonge. Mais les hommes étaient si crédules … Il quitta finalement la petite pièce, qui était le bureau de la prostituée. Cette pièce avait un lit deux places, et également un bac d'eau, permettant à deux personnes n'ayant suffisamment pas de surcharge pondérale de se laver en toute intimité, bien que le bain ici n'était qu'accessoire … Elle se lava avec soin, expulsant de ses doigts ce liquide qui si souvent envahissait son corps. Elle utilisa une huile pour raffermir et donnée une odeur suave à son corps qui était maintes fois assaillit ou désirée par de nombreux hommes. Elle réajusta sa coiffure, et enfila quelques vêtements, avant de redescendre au rez de chaussée du lupanar de Winterfell. Elle regarda autour d'elle, de nombreux clients comme son précédent, des lourdingues, des balourds, des paysans, des pagus, des traînes-comptoirs, des rats des champs et autres libidineux du Nord … Il y avait personne qui lui changerait de l'ordinaire ? Tant pis … Elle s’assit sur les genoux d'un marchand de passage, trop heureux de pouvoir changer de bobonne. Elle senti la main douce et maladroite du commerçant caresser sa cuisse, puis aller avec timidité dans son jardin des plaisirs. C'était cela, sa vie … La vie d'une prostituée ...

En grand habitué des lieux, le jeune Greyjoy entra dans la grande pièce, adressant un regard amical au proxénète qui gérait ce bordel. La maison close était digne du nord, froide et avec trop peu de lumière. Les murs étaient faits de pierre grises, qui commençait d'ailleurs à insupporter le jeune homme. Il aurait bien voulu se retrouver dans les bras d'une jolie fille dans des draps de soie, et non dans des peaux de bêtes. Ses habits était luxueux, et il faisait tâche au milieu de tout ces paysans et badauds de bas étage. Sa cape beige de seigneur frottait le sol en le balayant, et le bruit de ses bottes avait attiré l'attention de toutes les putains qui cherchaient un client. La main posée sur la garde de son épée, il arborait un sourire narquois à la vue des quelques hommes qui venait s'offrir les faveurs d'une des filles de joies présente en ce lieu. Deux de ces travailleuses lâchèrent alors le client qu'elles avait auparavant choisi, de petits paysans dont la pauvreté sautait aux yeux, venant s'approprier les faveurs du seigneur, espérant peut-être un pourboire plus généreux ? Malheureusement pour elles, ledit seigneur n'était pas d'humeur à se farcir quelque catin au hasard. Il était venu ici pour une seule, et il la vit au fond de la salle, assise sur les genoux d'un marchand gras comme un porc, qui n'avait pas perdu de temps pour commencer à en avoir pour son argent. Il écarta les deux putains de son torse d'un coup d'épaule, et, sans un regard pour les deux malheureuses destinée à, finalement, se faire prendre par de simples paysans du coin, vint à la hauteur de la jeune femme avec de longs cheveux de feu. Toujours son sourire narquois aux lèvres, il lança une petite pièce au marchand pour sa propre tranquillité, et saisit la main de la belle, connaissant par cœur le chemin jusque sa chambre, sans dire mot.

La belle Ross fût surpris quand une main prit la sienne, et elle le fût encore plus quant elle vit qui était celui qui l'empêchait de prendre un client … Ce n'était nul autre que Sir Theon Greyjoy, l'Héritier d'une maison redoutée, et également le pupille de Lord Eddard Stark, Suzerain du Nord. Elle ne pût refréner son gloussement, et elle suivi avec un plaisir non dissimulé le noble. Elle le connaissait depuis longtemps maintenant, et elle éprouvait un désir incommensurable lorsqu'elle le regarda dans les yeux, a tel point qu'elle se sentit moite entre ses cuisses. Ils se dirigèrent vers la porte, le pupille menant la danse, mais ce fût finalement Ross qui mena la danse, se retrouvant devant l'héritier lorsqu'ils montèrent l'escalier. Elle accentua son déhanchement, uniquement par plaisir, pour accentuer le désir déjà saisissant du jeune homme.

Ils se retrouvèrent finalement dans la chambre, et elle décida de prendre les commandes. Elle poussa le Nobliau sur son lit, et commença son effeuillage. Elle retira chacun de ses vêtements avec des gestes parfaitement étudiés. Elle commença par défaire son haut, dévoilant ses monts d'amour au regard désireux de Theon. Elle s'amusa à toucher cette poitrine que nombres personnes à Winterfell et aux alentours souhaitaient eux aussi touchés, et elle tripota, malaxa, souleva ce qui déclenchait bon nombre de désir dans ce lieu de débauche. Décidant d'arrêter ce petit jeu, elle présenta sa croupe, et fît tomber sa robe et son haut, ce qui eût pour effet de montrer le postérieur de la belle. Elle se dirigea finalement vers le lit, et empoigna la virilité du Prince de Grès toujours enfermé dans sa prison de tissu. Elle commença par faire quelques aller retour, et elle dit à son client préférer.

« Comment va mon petit Nobliau ? J'espère que t'es content de me voir, car je me languissais de toi en t'attendant. J'espère que tu est en forme, car je te lâcherais pas comme ça ... »

Elle dirigea ses lèvres vers la bouche du jeune homme après sa réponse, et elle se mit à littéralement lui dévorer le lobe d'oreille, le mordillant avec passion. Ses cuisses, elles, se retrouvèrent sur la taille du prince, frottant son intimité par la sienne, seulement séparer par les chausses de Theon.

Le jeune seigneur mena la belle prostituée dans les escaliers froids du lieu de débauche. Il laissa passer la dame devant lui, laissant ainsi les formes de la jeune femme lui ravir l’œil. Cette dernière le savait, et ne se fit pas prier pour se déhancher un peu plus. Un sourire en coin, la main du jeune Kraken vint se glisser sur la croupe de la prostituée, et il maudit se bout de tissu qui séparait ses doigts de l'intimité de sa compagne du moment. Il enviait de tout son corps le moment où il prendrait la jeune femme par les hanches, peu importe l'endroit où étais-ce dans la chambre de la belle.

Ils entrèrent alors dans la chambre, et, surpris de se faire pousser sur le lit, il se laissa tout de même faire, laissant la jeune femme aux cheveux flamboyants mener la danse. Il retira alors sa cape et ses épaulières de fourrures, les laissant glisser au bas du lit. Il retira son ceinturon qui maintenant son épée au fourreau, et le posa sur une table de chevet un peu plus loin sur la gauche de la couche, , appréciant le spectacle qui s'offrait à lui. Ses yeux se posèrent alors sur le corps de la jeune femme, se dénudant peu à peu devant lui. Il pu alors admirer ses formes, dont sa poitrine voluptueuse qui demandait seulement à être touchée. Theon sentit en lui monter un désir incommensurable, lui chatouillant le bas ventre d'une envie dévorante. La prostituée vint alors se pencher sur lui, dévoilant d'un peu plus près ses atouts non négligeables. Il la saisit par les hanches, et amena ses lèvres jusqu’à son oreille

« Tu m'as manqué. Je te donnerais tellement de plaisir, Ross, que tu sera trop fatiguée pour recevoir quelque autre gros lards dans la journée. »

De sa main droite, posée sur les hanches de la jeune femme, il accentua les va et viens de son bassin, et de sa main gauche, commença à défaire le lacet qui retenait sa virilité.