Les anneaux d’un serpent - S’il y a bien une femme en ce monde qui peut se vanter d’avoir le contrôle sur l’héritier et sur son cœur, c’est bien Cerenna. On ne peut nier leur filiation et Alessander ne peut nier qu’il est totalement obnubilé par la brune. Il l’aime mais non pas du pur amour qu’à un fils pour sa mère mais bel et bien de celui qui le fait se réveiller en sueur la nuit et rêver de la posséder pleinement. Bien qu’il se sait incapable de lui dire non, il fuit les anneaux de la vipère comme la peste depuis maintenant cinq ans, craignant son poison plus qu’aucun puisqu’il y est nettement plus sensible. Pour tout dire et bien qu’il ne l’ose se l’avouer, il a peur d’elle et de ce qu’elle est capable de lui faire faire. Mais encore plus, il a peur de ses sentiments à son égard et il sait très bien qu’ils sont loin d’être naturel. Alors qu’il adore sa mère, il ne peut s’empêcher de la haïr en même temps car pour lui, c’est de sa faute s’il est aujourd’hui ce qu’il est et surtout s’il éprouve ce qu’il éprouve. Il se sait être une marionnette et bien que dans son âme et conscience, il rêve de couper ses fils, il se le refuse car il sait qu’il ne peut quitter à jamais sa mère.

Les liens de sang avant tout - Alyssa est la deuxième femme de sa vie. Alors qu’il rit des liens du sang et de ceux qui ne jurent que par ses derniers, Alessander sait très bien qu’il agit de même avec sa petite sœur. La jeune sauvageonne le fait rire, elle lui redonne le sourire dès qu’il la voit et elle est son plus grand regret de quitter Beaumarché pour échapper à sa mère. Il respecte sa grande innocence et s’inquiète en permanence pour elle, refusant qu’elle devienne aussi glaciale que sa mère car, des échos qu’il a perçus, il a compris que dans son enfance, Cerenna était semblable à sa fille. C’est pourquoi il protège la jeune Desdaings bec et ongles et est bien heureux qu’elle préfère son père à sa mère.

La première nuit - Alessander était encore un jeune garçon lorsque sa mère décida qu’il était suffisamment grand pour devenir un homme. Ce fut elle qui l’amena jusqu’au bordel le plus réputé de Beaumarché et qui payait la brune à la peau mate pour qu’elle apprenne les secrets de l’amour à son enfant. Alessander n’a jamais oublié cette nuit et cette femme. Si bien qu’à chacun de ses retours, il ne peut s’empêcher de partager la couche de la putain, totalement ignorant des agissements dans l’ombre de sa mère et de l’espionnage de Larra.

Douce nuit, tendre mémoire - Enfants, Lynce et Alessander se rencontrèrent au tournois d’Harrenhall. L’hériter Desdaings trouva immédiatement la jeune femme magnifique. Ses longs cheveux noirs et ses yeux bleus lui rappelaient fortement sa mère et cela était parfait pour la jeune Higtower. Il joua avec elle durant toute la journée et le soir même, il jurait à sa mère qu’il avait rencontré la fille qu’il voudrait épouser lorsqu’il serait en âge de se marier. Puis les années passèrent et Alessander oublia les paroles enfantines qu’il avait proféré, ne pensant pas que le destin remettrait sur sa route la trop belle Lynce. Lorsqu’il la vit de nouveau, il se souvient d’elle et c’est avec un plaisir sans nom qu’il la laissa partager sa couche, mêlant passion et souvenir d’un amour d’enfance.

Petite soeur - UC

L'amante pleine de promesse - Alessander se sait beau, valeureux, fier et capable d’amener n'importe quelle femme dans son lit. Silithia fait partie de ses dernières. Mais pour lui, elle ne se font dans la masse. Elle est la seule qui, l'espace d'un instant, il envisagea d'épouser. Sa beauté, sa grâce et son corps offre, tant de choses qui séduisirent le cygne noir, qui lui offrit d'ailleurs l'une de ses plumes, gestes qu'il n'avait jamais fait. Mais c'est du passé, le relation fut agréable mais belle et bien terminée. Qu'il croit si bien penser.

Trop de questions - Lorsqu'au début de leur rencontre, il apprit son nom de famille, Alessander sentait qu'il pouvait s'en tirer à bon contre. Après tout, il était habitué aux femmes fortes et manipulatrices avec sa mère. Au lieu de cela, il était tombé sur la jeune femme la plus pénible de l'ensemble de sept couronnes, bien loin de la reine sa cousine. Ce n'était pas une lionne, c'était un petit chaton. Bien contre lui, il lui chanta les notes de Castamere et la laissa là devant ses questions trop personnels. Elle n'avait rien vu de sa véritable personne. Il sait qu'il se ment en ce jurant cela mais il est hors de questions qu'elle sache. C'est un petit chat. Inoffensif. Du moins c'est ce qu'il se fait croire car intérieurement, il sait très bien qu'aucun Lannister est inoffensif. Un lion a toujours des crocs.

Le pouvoir au creux de sa main - La première fois qu’Alessander a vu la jeune fille, sa beauté la surprit. Bien sûr, il était totalement au courant de son identité mais s’attendait à une enfant à la chevelure auburn mais au visage chevalin caractéristique des Stark. Elle était tout autre et pour l’héritier, se fut une merveilleuse nouvelle. Sachant le pouvoir politique que représente la jeune lady, il décida qu’elle serait parfaite pour faire une épouse, calme, docile, magnifique. Même s’il y avait ce prince grognon qui allait lui mettre des bâtons dans les roues avec son statut de fiancé. Alessander joua donc sur la carte du charme, un instrument qu’il maitrise très bien pour montrer toute sa perfection à la jeune fille. Il se sait être pour elle un parfait chevalier, le mythe du jeune fou sur son cheval blanc près à tout pour sa dulcinée et ne compte pas faire disparaitre cette image de sitôt.

Une servante pleine de pitié - Lorsqu'Hermine travaillait pour sa famille, Alessander ne la connaissait pas vraiment. Il était au courant de l’idylle avec son demi frère, au courant de chaque chose et de l'enfer que lui faisait vivre sa mère. Mais c'est surtout lorsqu'elle fut chassée qu'il se rendit vraiment contre de sa présence. Il ne réagit pas, après tout, il n'allait pas prendre la défense d'une servante qui en plus lui préférait son demi frère mais... Elle lui inspira bien de la pitié. Même s'il serait aujourd'hui bien incapable de se remémorer son visage.

Résistance féérique - La buse et le cygne n'ont jamais été amis dans la nature et jamais, bien que tout deux oiseaux, ils n'auront l'idée de s'approcher. La première est un prédateur, le deuxième une majestueuse décoration. Si Alessander désira la jeune femme, il eut bien tord de vouloir se frotter à ses serres. Elle est l'une des rares femmes qui ne lui a jamais résister et il est bien décider à l'obtenir pour la compagnie d'une nuit. Si Alessander ne haït pas celles qui lui résistent, le cygne noir pense pourtant avec un sourire à la damoiselle. Elle lui fait penser à sa petite sœur par certain point et il l'aura, coute que coute

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Souvenir d'enfance - Si Alessander n'a pas croisé Patrek depuis très longtemps, il se souvient tout à fait de lui à l'époque où ils n'étaient que des enfants. Et les souvenirs qu'il en garde soin loin d'être positif. Patrek, Edmund, toute la clique, tous du même âge, Alessander ne les a jamais apprécié et il refusait catégoriquement de les voir. Alors que son père aurait voulu en faire des amis, le cygne noir était un enfant bien trop doux pour s'entendre avec pareils plaies. Il se faisait ridiculiser des qu'il devait manier les armes en leur compagnie, bien plus faible qu'eux. Par contre, son intelligence jouait en sa faveur, lui qui avait été éduqué par sa mère. Les autres enfants se plaisaient d'ailleurs à se moquer de lui et une fois ils poussèrent le bouchon trop loin en détruisant son luth. Alessander entra dans une colère noire et les enfants ne se revirent jamais. Mais le brun à bien changé et il compte bien montrer à Patrek et toute sa clique qu'aujourd'hui, il est aussi voir plus doué qu'eux à l'épée et surtout, qu'un jour, ils deviendront tous ses vassaux.

Le cygne blanc - Rien ou presque ne pourrait prouver la filiancion qu’il existe entre les deux hommes. Alors que Criston est aussi blond que la racine première des Desdaings, Alessander ressemble en tout point à sa mère. Si la vipère a juré au cygne noir qu’il devrait haïr son père, ce dernier ne peut si résoudre. Il est le digne héritier de Lord Desdaings et agit en conséquence. Bien sûr, il ne peut pardonner au seigneur des lieux le viol de sa génitrice et serait prêt à le tuer dès l’instant où la brune lui en donnera l’ordre. Mais pour l’instant, il vit comme son digne fils, gardant toujours de la rancœur à son égard bien qu’il apprécie son paternel.

Le jeune premier - Alessander ne peut pas dire qu’il aime profondément son demi-frère, mais il ne dira pas non plus qu’il le haït comme peut le faire sa mère. Il se contente de le supporter et s’amuse même de tout ce qu’entreprend le garçon. Si un héritier devait être donné physiquement, ce serait Isendre mais à cela, Alessander ne manquera pas de rabattre le clapet du garçon en lui rappelant son statut. Bien qu’il apprécie le bâtard, il ne lui a jamais suffisamment parlé pour qu’il puise en ressortir quelque chose. Il sait que le blond le voit comme une idole et cela lui suffit, tout en gonflant son orgueil. Mais si devant sa mère, il ne montrera jamais l’attachement qu’il a pour Isendre.

Méfiance entrecroisées - Alessander sait que le Tully est un ami de son père et en conséquence, il s’en méfie comme de la peste. Bien entendu, par devant, il ne montrera rien de ses sentiments, se contentant de faire le parfait héritier mais il a bien entendu les paroles de sa mère à l’égard du frère de Lord Tully. Il ne déteste pas totalement l’homme, sachant qu’un jour ou l’autre, il pourra servir mais il ne s’approche pas vraiment, sachant que même les truites ont des arêtes encore plus les silures.