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Uchronie du Trône de Fer de George R.R. Martin. Venez incarner un riche Lord, un noble chevalier, un seigneur ruiné ou un roturier dans le Royaume des Sept Couronnes !
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Malaise [PV Meredith Rogers]

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MessageSujet: Malaise [PV Meredith Rogers] Malaise [PV Meredith Rogers] Icon_minitime10.11.13 21:52






Malaise !
Alysanne Ambrose & Meredith Rogers

Un voyage à Port-Real ! Cela allait lui faire du bien. Elle aimait tant voyager ! En général elle se rendait chez les Tyrell mais la capitale lui plaisait aussi. Elle aimait beaucoup s’y balader quand Arthur lui, s’occupait de ses affaires. Les rues de la cité n’étaient pas toujours sures mais elle n’avait jamais eu aucun ennui. Elle n’y sortait jamais seule cela dit. Elle était toujours accompagnée. Néanmoins, elle n’avait jamais craint pour sa sécurité. Elle ne s’y rendait pas la nuit et puis, ce qu’elle aimait faire c’était le marché. Acheter des fleurs, parfois du tissu, quelques fruits. Elle aimait son indépendance, sa liberté. C’était important pour elle de rester autonome. Alysanne aimait parfois prendre les choses en mains, certaines choses et l’achat de ses fleurs préférées en faisait partie !

Elle avait tout naturellement suivi son époux quand celui-ci lui avait dit qu’il devait se rendre à Port-Real. Elle détestait en être séparée. C’était très difficile pour être d’être loin de lui trop longtemps et heureusement, cela n’arrivait pas trop souvent. Dans le cas où il ait à s’absenter vraiment longtemps et qu’elle ne puisse le suivre, alors elle se rendait à Haut-Jardin pour ne pas être seule. La solitude n’était pas ce qu’elle préférait. Il y avait Alyn mais parfois celui-ci partait avec son père et puis, la plupart du temps, il était occupé à autre chose.

Cette fois-ci, pas de souci. Elle avait suivi son bien aimé. Le voyage s’était tout à fait bien déroulé. Ils étaient bien arrivés, installés mais déjà Arthur avait dû « partir travailler ». C’était là qu’elle avait choisi d’aller faire son petit tour au marché de la ville. Fleur. C’était tout ce à quoi elle pensait.
Sortir seule ? Non, elle avait pris un garde avec elle. Un seul car elle n’avait pas besoin de plus.

Cela faisait maintenant une heure qu’elle déambulait. Elle s’était acheté tout ce dont elle avait besoin. Chargée mais heureuse.
Cependant, elle avait chaud. Très chaud. Elle essayait de se faire de l’air comme elle le pouvait avec un éventail de fortune qu’elle s’était fait avec du papier mais rien n’y faisait. Elle s’arrêta pour s’appuyer contre un mur.

__ « Ma lady ? Tout va bien ? »

__ « Oui, juste la tête qui me tourne. J’ai un peu chaud. Tout ce monde m’a quelque eu déstabilisée je suppose. » Elle avait vraiment chaud et bien qu’arrêtée, elle ne parvenait à retrouver ses esprits. Elle avait vu un banc et pensa aller s’y installer pour se reposer. Peut-être n’avait-elle pas pris assez de temps pour elle depuis leur arrivée. Le voyage était fatiguant et elle n’était plus une enfant, elle récupérait beaucoup moins vite que dans le temps. Elle mettait tout cela sur le compte de son âge ainsi que la fatigue accumulée.

__ « Je vais m’asseoir quelques instants. Allez me chercher à boire et la voiture que nous puissions rentrer. Ne vous inquiétez pas, tout va bien. » Son garde parti elle tenta d’aller s’installer sur le banc convoité. Il était plus loin qu’elle l’imaginait en réalité. Beaucoup plus loin. Ses fleurs semblaient peser une tonne et la chaleur ne la quittait plus. Elle sentait des petites gouttes perler le long de son dos et la couleur quitter son visage. Le peu de gens qu’elle croisait et qui la regardait jetaient sur elle des regards inquiets. Comme à son habitude elle faisait comme si de rien n’était. Elle détestait qu’on la regarde ou qu’on s’intéresse un peu trop à elle. Si elle pensait que tout allait bien, alors les autres aussi, et surtout, elle ne laisserait pas envahir par l’angoisse et bientôt tout cela ne serait plus qu’un mauvais souvenir. Ça, c’était en théorie car en pratique, malheureusement, les choses ne se déroulèrent pas comme elle l’entendait. Elle n’arriva jamais jusqu’au banc et alors qu’elle marchait, sa tête se mit à tourner de plus en plus. Sa vue se brouilla. Ses bras ne supportèrent plus le poids des fleurs et ses jambes se dérobèrent sous elle. Elle n’aurait surement pas du dire à son garde de s’éloigner. Maintenant elle se retrouvait seule et malheureusement, au sol. Evanouie.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart

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Meredith Rogers
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MessageSujet: Re: Malaise [PV Meredith Rogers] Malaise [PV Meredith Rogers] Icon_minitime17.11.13 19:54

La jeune Meredith s'était levée de bonne heure ce matin. A vrai dire, elle s'était souvent levée tôt depuis son arrivée à Port-Réal. D'une part, car sa terre natale lui manquait affreusement, et d'autre part pour aller épier les chevaliers qui s'entraînaient aux armes. Vêtue d'une toilette élégante, d'un bleu marine profond, l'espiègle demoiselle se dissimulait derrière les colonnes de la salle d'armes. Elle tentait de bien analyser leurs mouvements, leurs parades, leur jeu de jambes. Ainsi, à la nuit tombée et à l'abri de tous les regards, la jeune femme les imitaient. Elle répétait de son mieux la chorégraphie martiale de ces hommes au service du Roi, espérant secrètement pouvoir s'exercer à l'épée un jour. Toutefois, elle soupira tristement quand la réalité lui revint en mémoire ; si elle s'était exilée des Terres de l'Orage, c'était pour s'assurer un avenir en tant que lady, et non en tant que guerrière. Tout à coup, un visage familier apparut à Meredith, qui sursauta malgré elle.

" - Que faites-vous ici, mon enfant ? Ne devriez-vous pas être aux portes du château ? Votre escorte vous attend pour le marché ! " déclara sa Septa d'un ton légèrement agacé. L'expression de Meredith se crispa, et elle ouvrit la bouche pour rétorquer quelque chose. Cependant, elle se ravisa non sans se faire violence. En effet, son frère l'avait envoyée ici pour faire d'elle une véritable lady et changer son attitude insolente, son devoir était d'agir comme tel. D'un ton qui sonnait faux, elle s'excusa :

" - Suis-je sotte, j'avais complètement oublié cette sortie si agréable ! Par les Sept, je vous présente toutes mes excuses les plus... sincères. " acheva-t-elle sur un ton qui trahissait l'ironie de ses paroles. Sa Septa semblait visiblement indignée par son comportement, mais elle n'ajouta pas un mot de plus quand elle vit la jeune lady qu'on lui avait confiée descendre promptement vers son escorte. Sa longue tresse brune rebondissait sur ses reins, au rythme de sa marche. La Filante, quant à elle, ne comprenait pas pourquoi on lui imposait de sortir dans la ville de Port-Réal. Selon sa Septa, "il serait bon pour une lady d'apprendre à se familiariser avec le peuple, ainsi mieux tu pourras les comprendre." avait-elle dit. La jeune Rogers n'avait aucunement envie de se familiariser avec le peuple, mais le devoir primait sur le désir dans sa situation. A contre cœur, elle suivit son escorte pour aller lorgner les différents stands de marchandises sur la place centrale de la capitale.

Au bout de trois quarts d'heure, Meredith avait mal au dos, à force de piétiner inutilement. Et sa mauvaise volonté n'arrangeait en rien cette virée forcée, même si, au fond, ça n'était pas la Mer Dothraki à boire ! Fatiguée de l'ambiance sonore et de la populace entassée, la Filante intima à ses gardes de l'attendre un instant. Elle alla s'asseoir sur un banc, et en profita pour observer les gens qui s'affairaient autour d'elle. Les commerçants se cassaient la voix pour promouvoir leurs articles, les personnages riches débordaient d'opulence, et les pauvres n'étaient que des êtres miteux et dégoûtants. C'était ça, la capitale de Westeros. Déconcertée par son constat, son regard balaya à nouveau la foule. Néanmoins, une femme retint son attention. Ses bras étaient chargés de fleurs magnifiques aux couleurs variées, mais sa démarche semblait incertaine, vacillante... Et son visage était d'une pâleur inquiétante... Meredith eut juste le temps de froncer les sourcils avant que le corps ne s'écroule sur les pavés chauffés par le soleil. L'adrénaline vint secouer son cœur et tous ses membres, qui communiquèrent à son esprit d'agir en conséquence. Après quelques secondes d'hésitation du au choc, la brune se jeta sur le corps inanimé et le retourna, face vers le ciel. L'inconnue était très belle, et bien que la demoiselle n'eut aucune idée de qui il s'agissait, elle clama :

" Ecartez-vous ! Une femme s'est évanouie, écartez-vous ! "

Les passants alentour furent d'abord interloqué, mais comprirent très vite qu'il en allait d'une vie humaine. Prenant son courage à deux mains, Meredith voulut d'abord s'assurer que tout espoir n'était pas perdu : elle plaça son oreille contre la poitrine de la femme évanouie. Son cœur battait, mais à un rythme irrégulier et lent. N'écoutant à présent plus que son instinct, la brune passa ses doigts sur la robe de l'évanouie, au niveau du ventre. *Elle a un corset* déduisit-elle au toucher. Quelque peu sur les nerfs, elle se retourna vers un groupe de curieux réunis en hurlant " Une lame, vite, une lame ! ". un homme visiblement en surpoids lui passa l'objet, et elle saisit le haut de la robe de la femme inconsciente, puis coupa son corsage dans la longueur. D'un geste vif, elle la débarrassa de son corset, et son visage retrouva peu à peu des couleurs. Soulagée, la jeune femme soupira lourdement. Par délicatesse, Meredith ôta sa cape et couvrit le corps à moitié nu de l'inconnue. D'une voix aussi calme que faire se peut, elle demanda :

" - Ma Lady, m'entendez-vous ? "
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MessageSujet: Re: Malaise [PV Meredith Rogers] Malaise [PV Meredith Rogers] Icon_minitime23.11.13 22:16






Malaise !
Alysanne Ambrose & Meredith Rogers

Trou noir. Alysanne était incapable de savoir ce qu’il s’était passé. La chaleur. La fatigue. Le manque d’air. La vue qui se troublait… Tous les symptômes du malaise finalement. Ce n’était pas le premier qu’elle faisait et surement pas non plus le dernier. Cependant, et comme tout le monde, elle détestait cela. En plus, elle avait la nausée. Etre malade en public, ce n’était pas très « Ladyish ». On y pouvait rien, cela allait de soi mais tant qu’elle pouvait l’éviter, elle ravalait ses nausées. Enfin, cela, c’était quand elle serait éveillée car pour l’instant, elle était encore inconsciente. Allongée sur le sol poussiéreux et quelque peu sale du marché, l’amoureuse d’Ambroisie n’avait absolument conscience de rien.

Ce ne fut pas différent quand elle fut redressée et que des gens s’agitèrent autour d’elle. Elle entendait vaguement un brouhaha incertain mais rien de bien précis. Elle ne savait même pas ce qui n’allait pas. Cependant, quand l’air sembla s’emparer de ses poumons, elle prit une immense inspiration et ouvrit les yeux. La lumières la frappa. Elle sentir une brise légère sur son visage. Brise qui la fit frissonner. Elle avait froid. C’était surement du à l’évanouissement.

Alors que l’air l’envahissait, ses esprits eux aussi firent un retour en grandes pompes. Le marché, les fleurs, la chaleur, le monde, cette tête qui lui tournait et ces nausées qui le gênaient… Le banc qu’elle voulait rejoindre. Son garde qu’elle avait envoyé lui chercher de l’eau ainsi que la voiture… Elle était à Port-Real et qu’elle s’était évanouie au marché, seule. Seule car elle avait été têtue. Comme à son habitude. Elle pensait qu’elle pouvait se débrouiller par elle-même. En temps normal, oui, mais là. Quelle idée d’envoyer loin son garde.
Quand elle ouvrit les yeux ce ne fut pas lui qu’elle vit. Non, ce fut une femme qui jetait sur elle ce qui semblait être une cape. Elle n’avait pas encore réalisé mais il fallait avouer qu’elle avait une aise certaine au niveau de la cage thoracique. Aise qu’elle ressentait principalement le soir quand enfin elle retirait ses vêtements pour enfiler quelque chose de bien plus confortable.

Elle se redressa comme un seul homme. Cette personne qui s’était occupée d’elle lui parlait.

__ « Oui. Oui, oui, je vous entends. Qu’est-ce … ? » Ce fut à cet instant qu’elle se rendit compte que son corsait avait été coupé. Ruiné. Comble de l’horreur, elle se retrouvait plus à moins la poitrine à l’air. Elle avait effectivement la cape de la jeune fille qui la recouvrait mais pour une lady de sa trempe, cela n’était pas suffisent ! Et puis, son corset… Elle n’en aurait pas pleuré, ce n’était pas son genre, cependant, elle était furieuse ! Furieuse, mais elle restait Alysanne et ce corsage à jeter était la condition pour qu’elle reprenne connaissance plus rapidement.

__ « Par les Sept… Etait-ce réellement nécessaire de gâcher ainsi le travail d’une merveilleuse couturière ? Peut-être auriez-vous mieux fait de couper le lacet. » Elle s’arrêta net de parler. Elle était dure avec cette jeune femme qui pourtant lui était venue en aide et n’avait pas hésité à arrêter ce qu’elle faisait pour s’occuper d’elle. Elle n’avait absolument pas le droit de lui parler de la sorte et elle s’en rendait compte.  Alysanne n’était pas ce genre de femme qui toujours essayait de mettre plus bas que terre les autres, pas comme Lynce. Ce n’était pas le moment de penser à elle, mais en réagissant ainsi elle avait eu l’impression de la voir en elle.

__ « Je vous prie de m’excuser. Le malaise me fait réagir de façon tout à fait inappropriée. Vous m’êtes venue en aide et je vous en remercie du fond du cœur. Mon corset n’est absolument pas important. » Elle lui sourit. Un vrai sourire venant du fond du cœur. Elle ne lui avait peut-être pas sauvé la vie. Elle n’en savait rien, cependant il ne devait s’agir que d’un simple évanouissement. En tout cas, elle l’avait aidé et cela représentait beaucoup pour elle. Elle aussi aurait tout abandonné pour aider quelqu’un en difficulté alors même si elle se trouvait encore un peu dans les vapes, elle était touchée.

__ « Je ne sais pas ce qu’il s’est passé. « J'ai vu tout blanc, et après tout noir, et après, 2 fois tout blanc... » J’en ai certainement trop fait. » » Comme d’habitude avait-elle envie d’ajouter mais cela n’était pas nécessaire maintenant. Elle était toujours au sol et préférait prendre son temps avant de se relever. Elle ne se sentait pas de se lever encore. La cape était bien évidemment toujours sur elle et elle s’y accrochait comme à sa vie. Elle avait perdu la face en même temps que la connaissance et préférait laisser cela derrière elle à présent. Eveillée, Alysanne ne voulait plus retomber. Peut-être avait-elle faim ? Pourtant elle s’était très bien nourrie… Non, elle ne savait vraiment pas ce qu’elle avait eu. Cela faisait très longtemps qu’elle ne s’était pas sentie aussi mal en réalité. Depuis qu’elle avait appris sa première grossesse en fait. Mais tout cela était bien loin, oui, il ne devait s’agir que d’un coup de mou.

© Fiche de Hollow Bastion sur Bazzart

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