Cela faisait peut de temps qu'Azénor avait obtenue le loisir de vagabonder parmi les vastes terres de son domaine sans chaperon !. Comme de coutume depuis cela ,elle avait pris le temps de compter ses temps de solitudes avec rêveries, profité pleinement de sa nouvelle liberté en bravant quelques interdits , et même discuter de politique avec un fermier ! Malgré cela et en ayant épuisé toute sa bonne volonté , elle ne pu s'empêcher de garder à l'esprit ces fabuleux temps de paix .. Oui de paix ! celui qui n'avait pas besoin d'être remplie de broquards soyeux ,de prétendants envahissants pour faire parler les anciens par quelques rumeurs si futile et inutile soit t-elle ect...Oui je parle de ce temps ou politique et complots étaient loin d'être de mise en été !

En vérité, ( et parce qu'il faut bien le dire ) la jeune femme songeait surtout à son avenir .. Oui son avenir ! chose qui ( surtout lorsque l'ont est une femme de nobles lignées ) est très en point d'être porter en réfléxion (surtout si l'ont croit aux promesses incertaines de l'entière coupe de son futur époux ou prétendant !)  .. Oui, .. Azénor passait beaucoup de soirées à réfléchir sur son "destin" . Elle en avait longuement travailler la saveur et "l'avant goût " comme un grand vins sortit d'une cave de maîtres que l'ont rêve d'avoir en bouche avant qu'il n'est vieillit  . Après tout .. ,tel était la devise des Lychester : "  maîtres de nos destins " .C'était la une devise de sens et de valeurs n'est-ce pas ? Ainsi dans l'ombre de tout ces questionnement principaux du matin , Azénor pensait à son futur ..

Arrivé à la hauteur d'un petit lac ,sa réfléxion la quitta ,l'obligeant brusquement à reprendre conscience de la réalité de sa condition présente. Elle regardait autour d'elle les gens du peuple s'appliquant sans mal à sourire aux enfants égarés et aux vieillards intrigués par sa présence . Ils faut dire qu'une jeune fille de sa condition était une chose d'assez étrange dans de tel contrées reculés ! mais elle avait une réputation tel que ses gens ne pouvaient en aucun cas la haïr ou la juger non crédible dans se rôle dont ( de toute évidence) elle était emplois à réussir !. " Oh bonjour madame ! " fit une vieille femme un s'écartant de son passage . La jeune fille lui sourit d'un air enfantin ,mais forcer par son désir de discrétion continua sa route  .

Elle piétina près d'un banc de pierre puis s'arrêta quelques instant en observant les pêcheurs à l'oeuvre .. Il y avait une petite brise douce et apaisante ce jour la .. aussi en scrutant intriguée une jolie jeune femme blonde qui marchait avec élégance le long du lac, Azénor faillit à croire qu'elle sortait tout droit d'un rêve mystique et imaginaire !. Certe.. ,elle avait de ses allures de femme à grande personnalité que l'ont oublie jamais ! mais il y avait un brin de familier et d'entier chez elle .. chose qu'Azénor était assez surprise de constater pour s'en référer à sa condition de noblesse !  Emporter par l'intrigue , la jeune blonde se leva donc et se dirigea curieuse et enfantine vers elle un brin craintive et désolée d'une futur erreur ..

Aaliyah avait entâmé son second voyage, qui avait, cette fois-ci, comme but d'explorer ce fabuleux coin de pays qu'était le Conflans. Les marchands d'Hautjardins n'avait cessé, la semaine précédant son départ, de lui faire les louanges des contrées riches en paysages époustouflants. Son habituel fournisseurs de tissus lui avait personnellement recommendé cette région si la jeune Flowers souhaitait acquérir du tissus de grande valeur et apprendre de la raffinerie de la province.

La jeune femme avait atteint Vivesaigue le soir précédent et y était demeuré pour la nuit. Au petit matin, Aaliyah avait rapidement visité les alentours puis s'était mit, au zénith, à explorer de fond en comble les grandes et petites artères de Vivesaigues. Pourtant, après quelques heures de marche, suivant le courant de paysans et de nobles le long des routes, s'était retrouvé... nul part? En faite, Aaliyah n'avait aucune idée d'où elle se trouvait. Ce qui était rassurant, c'était qu'elle n'était pas toute seule.

Aaliyah était entouré de gens, près d'une rivière aux teintes d'azur et au paysage mirifique. Sa robe saphir valsait dans la brise automnale ainsi que ses mèches de blés. Les yeux tournés vers l'horizon, ce paysage la laissait tout à fait bouche bée. Son défunt père lui avait souvent dit que l'herbe n'était pas toujours plus verte ailleurs... mais peut-être l'était-elle? Pourquoi n'avait-elle pas découvert un sanctuaire de cette beauté auparavant? Nul ne le sait...

Les environs pouvaient bien la laisser sans mots, mais Aaliyah demeurait toujours perdue. Elle devait, avant la tombée de la nuit, retrouver son chemin. La jeune femme ne pouvait pas être loin de Vivesaigue... somme toute, c'est ce qu'elle espérait. Délaissant la rivière pour de bon, Aaliyah se retournait vers les autres hommes, femmes et enfants qui s'afférait dans ce petit coin de la ville dont elle ne savait pas le nom.

Il y avait, dans le lointain, une adolescente (ou jeune adulte) qui la fixait, émerveillée. C'était Aaliyah qu'elle regardait alors que la petite lady faisait tourner tous les regards de ses citoyens? Eh bien là c'était surprenant. Certains d'entre eux s'adressait à elle, mais l'adolescente ne semblait seulement guidée par sa curiosité. Aaliyah s'approcha donc d'elle, souriante, en ayant la ferme intention de lui demander où elle pouvait bien se trouver.

« Excusez-moi, milady, puis-je vous demander où sommes-nous? J'ai bien peur de m'être égaré de Vivesaigue par méagarde... »

Mais c'était à une noble qu'elle s'adressait! Aaliyah avait-elle oublier les bonnes manières?! *Quelle sotte que je suis! Ressaisie toi, Aaliyah!* Visiblement embarassée, la jeune Flowers lui fit une révérence.

« Pardonnez-moi ce manque de politesse, milady. Je ne suis pas digne de vous adresser avec un tel manque de respect. »