Frederik s'était rendus dans le grand Septuaire de Baelor pour prier, il sortit du temple lorsque l'arrivée des Tyrells se fit entendre dans Port Real, il observait d'un air morne le capitaine de sa garde, il avait mal à la tête ce matin, il s'avança dans la rue encadré par trois hommes de chaque côté, ils portaient tous sur leurs tabard l’emblème de la maison Celtigar. Le Crabe, bon ce n'était pas un loup...Un Lion...  Mais le crabe était quand même un noble animal. Il lui trouvait un certains panache. Pendant cette contemplation de  l’emblème de sa famille il observait les gens dans la rue, pauvre, malade, malheureux... Il suivit la rue jusqu'à une grande place où il devait trouver  son homme. Il fît signe à sa garde de s'éloigner et il mit son capuchon, avec ces vêtements simple et ce capuchon personne ne pourrait le reconnaître.

Sladhor Saan l'attendait depuis quelque minutes, il s'approcha de lui, son capuchon sur sa tête pour qu'on ne le reconnaisse pas. Il avait abandonnée sa garde à l'entrée de la place. Elle était prête à intervenir et discrète pour ne pas éveiller les soupçons sur les arrangements qui allaient suivre. Il parla à voix basse.

-Capitaine Saan?

-Oui ? Vous vous adressez au Grand Sladhor Saan, le meilleur pirate de Braavos.

-Je suis celui qui vous a contacté...

-Ah...  Nous allons pouvoir parler affaire....

-Je vous offre ce que vous voulez et vous m'offrez ce que je veux...

-Si on est d'accord sur le principe...

-Nous avions parler de dix mille dragon d'or ?

-Mmmmh...

-Vous étiez d'accord de plus avec la marchandise que vous ramasserez cela fera bien dix mille dragon d'or de plus?

-C'est vrais...

-Et si nous avons de bon résultat nous pourrions même vous donner des primes …. Est-ce que vous acceptez ce marché ? Couler les autres navires de commerce et laissez passer les nôtres.

-Ca me va...On dit que vous êtes quelqu'un de confiance... Et j'aime les hommes de confiance. Que la fortune nous sourit.

-Je vous enverrais un message à chaque fois pour fixer de l'heur et du lieu de notre rencontre.

-C'est d’accord alors... Je vous attendrais sur mon navire disons dans trois semaines au port.

Ils se serrèrent la main et Sladhor Saan reparti de son côté tandis que Lord Celtigar habillé sobrement et avec une capuche sur la tête reparti de son côté. Il s'arrêta chez lui pour se changer et repartit, il avait doublé sa garde et un homme transportant des parchemins les suivaient, deux gardes  portaient une table et une chaise. Ils arrivèrent sur une place et prirent place au centre. Les soldats se déployèrent en cercle, déposant la table et la chaise à un endroit. L'homme qui transportait les parchemins s'installa derrière. Il étala ses parchemin dessus et sortit de quoi écrire. Lord Celtigar s'avança au milieu de la place et se plaça devant la statue du Ferrant. Il parla d'une voix puissante pour qu'on l'entende bien.

« Réveillez- toi Port Real ! Où sont passé tes mille richesse ? Ton peuple radieux ? La joie des passants, des artisans et des commerçant ! Est-ce que l'heur n'est-elle pas venu de reprendre la joie de vivre qui t'a quittée ?! N'es-tu pas prêtes à  restauré ta richesse ?»

Il se déplaça de droite à gauche agitant les bras pour attirer la foule, observant les regards des passants jugeant des prochains mots qu'il pourrait prononcer.

« La compagnie Celtigar est prête à faire cela pour toi ! Elle est prête à payer pour ton travail, pour revoir vos sourires et pour vous revoir vivre ! Nous recrutons des marins pour naviguer sur nos Cogues et nos Caraques ! Une bonne paye en perspective ! Allons approcher et venez vous engager pour rendre Port Real au Peuple de Port Real !»


Il désigna l'homme au manuscrit observant la foule qui approchait doucement du bureau de recrutement de fortunne. Il s'avança dans la partie vide de la rue, observant l’avancée de ses futurs employés. Cette compagnie de grande envergure lui assurerait le peuple de la capitale mais aussi une source de revenu constante. Le seigneur Ardrian était détenus par ses partisans dans sa chambre à Pince-Isle et une lettre signé de sa main attestait que Frederik le remplaçait pour le moment. Le pauvre était tombé mystérieusement malade.  L'étape une de l'opération avait commencé renfloué La presque-île.

Lord Celtigar observait les gens qui approchait de la place pour s'engager doucement. Il n'avait pas remarqué qu'une femme s'était approché de lui pour lui dire deux mots sur cette affaire. Il l'observa, jusqu'à ce qu'elle lui adresse la parole.

Le Crabe se met donc à dépeupler la capitale, mais pour servir quel intérêt? Pas celui du peuple, s'en est certain. Quels bateaux avez vous, Celtigar, pour mettre tant de monde dedans? Et pour faire quoi? Vous allez devoir référer de vos activités à la couronne, car à ce que je vois de cette installation, elle est clandestine...

Dépeupler ? Les marins pourront rester à la capitale pendant jours lorsqu'ils reviendront de nos Siege dans les citées libres... Tandis que ceux qui décharge les navires vivront toujours à la capitale... Je me trompe ? Notre but ? Et bien nous enrichir et enrichir nos employés et nos investisseur comme tout groupe commercial...Je vois pas en quoi nous n'aidons pas le peuple ? Nos bateaux ? Nous avons Trois Cogues et deux Caraques... Et bientôt deux autres Cogues. Il y a le Loyal, Le Vaillant, Le Glorieux, Le Valyrien, Le Crabe. Et si les sept sont avec nous nous aurons bientôt La Grâce divine et La Bourrasque.  Temps de monde dedans ? Mon scribbe à le nombre exact et optimale de marins qu'il nous faut...

Il haussa la voix voyant que quelque passant les observaient.

C'est pour cela qu'il faut aller signer le registre, on vous donnera le reste des informations en même temps pour la suite !

Il baissa le ton fixant la Tyrell en face.

-En ce qui concerne mon activité la création d'une société commerciale à but commercial ne regarde que celui qui l'a créer et ses investisseur... Temps que nous payons nos impôts comme nous le devons ce sont nos affaires. Nous sommes donc dans la stricte légalité ici.  Ensuite je pourrais effectivement me demander ce que vous faites en pleine rue sans escorte, Lady Margeary...

Il attendit sa réponse, observant la rue derrière elle, les rues de la capitale ne sont plus plus sûr... Une jeune fille quis se balade seule risque sa vie à chaque minute ici.


Raccompagnez moi au palais. Je veux m'entretenir avec vous, en privée, alors renvoyez vos chiens

Il se tourna vers deux de ses hommes et demanda à ce qu'ils les accompagne avec deux autres gardes. Il lui désigna la rue vers le donjon rouge dans un « Après vous.»

N'aidez pas le peuple en l'emmenant loin, sans certitude de pouvoir retrouver leur famille, ou bien vous aurez contre vous trop de gens pour qu'une armée ne puisse tous les arrêter. Il serait dommage, alors que vous avez la vie devant vous, de vous faire égorger au coin d'une ruelle ou bien dans votre lit.

Il n'avait pas rêver c'était une menace ? Margaery Tyrell venait de le menacer... Mais est-ce qu'elle non plus ne risquait-elle rien en compagnie de Lord Celtigar et en compagnie de ses hommes ? Elle n'est pas à Haujardin ici...ELLE N'EST PAS EN TERRAIN CONQUIS ! Elle se permettait de le menacer alors qu'elle était entourer. Si elle ne tenait pas sa langue et si elle continuait à le menacer effectivement il pourrait lui arriver deux trois ennuis... Une femme aussi ravissante attire vite les convoitises... Il se pourraient que quatre hommes aient décider de la violer et de l'égorgée dans une ruelle pas très loin de là où ils se trouvent … On trouverait son cadavre et en sachant qu'elle était partie sans escorte...Elle a du faire une mauvaise rencontre et voilà le resultat. Encore un mot qui ne lui plaisait pas et c'est ce qui arriverait.

Frederik observait Margaery Tyrell d'un air calme et amical même si ca voix pouvait en dire autre chose il la changea aussi doucement pour une voix amical. Il realisait doucement qu'il avait affaire à une Tyrell et pas une maison de la presque-île.


«Allons allons Celtigar, ne montez pas sur vos grands chevaux, je ne ferai pas de mal à une mouche. À moins peut être qu'elle n'envisage quelques stratagèmes. Si la maison Lannister paye toujours ses dettes, les Tyrell ont tendance à offrir le double.»


-Je m'excuse, lady Tyrell, j'ai tendance à vite monter dans mes tours c'est une reaction stupide de  ma part... Sachez cependant que la mouche n'envisage rien de bien important contre le reste de ses voisins...

«J'aime me balader seule, jouer avec les gens, et apporter l'aide de ma famille. Si je devais trimballer cinquante péquenots à ma suite, personne ne voudrait jamais m'approcher! Si tant est qu'il puisse.» [/i]

-J'ai eût le temps de voir ce qu'était le peuple. Ce n'est pas que je n'ai pas confiance en eux mais c'est que je n'ai pas confiance en ceux qui autour de moi pourrait les enjoindre à me vouloir du tord...Ils pourraient avoir reçu une mystérieuse bourse avec une mystérieuse dague dans la main.. Si, j’étais quelqu'un sans ennemis ou sans rivaux sachez que je me baladerais comme vous sans escortes. Mais que voulez-vous...Ils le protègent leur seigneur.

Il fit un simple signe pour que ses gardes retourne à leurs places et qu'il continu le recrutement. Il les observa revenir droit comme des I à leurs places. Il se retourna vers la Tyrell lorsqu'elle s'adressa à lui en lui prenant la main. Il n'avait pas l'habitude de tenir la main à quelqu'un il n'était pas un enfant... La dernière mains qu'il avait tenu comme ca était celle de Jon Arryn avant qu'il ne meurt des mois plus-tard.

[i]«Lord Celtigar, venez avec moi, au palais et plus exactement dans mes appartement, je vais vous montrer quelque chose que sans doute vous n'auriez jamais vu et que très peu auront le loisir de le découvrir. Mais sans vos gardes, j'aime que mes secrets soient bien gardés. D'accord?»

Il l'observait … Venir avec elle ? Dans ses appartements ? Qu'est-ce qu'on penserait de lui s'il entrait dans la chambre d'une Lady comme ca? Il était d'accord pour la suivre même si cela était risqué. Il lui parla d'une voix amicale.

- Et bien... Je vous suis... Après vous.