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[La Verfurque] Qui frappe les buissons en fait sortir les serpents [pv Alyssa/Cerenna] [Beaumarché]

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MessageSujet: [La Verfurque] Qui frappe les buissons en fait sortir les serpents [pv Alyssa/Cerenna] [Beaumarché] [La Verfurque] Qui frappe les buissons en fait sortir les serpents  [pv  Alyssa/Cerenna] [Beaumarché] Icon_minitime04.08.14 13:26

Annee 298-Lune 9-semaine 1-jour 4
(La demeure Dedaings)



Alyssa fixait le parchemin vierge posé devant elle. Dans le petit salon, il y avait avec elle la plus agée des septas chargées de son éducation. Assise dans un fauteuil, près des portes grandes ouvertes, la veille dame regardait la terrasse fleurie. A l'exact opposé de la pièce, la brune tenait dans sa main droite une plume, cherchant les mots qui la lancerait pour le devoir qu'on lui demandait. Une dissertation sur le conflit qui opposait autrefois les Fer-nés aux rois de l'Orage pour la possession des Conflans. Une période de l'Histoire qui était de loin la plus ennuyeuse pour la jeune fille, et en venant à sa leçon elle n'avait pas vu arriver la surprise que lui avait préparé la septa. Aussi préparée pour écrire plusieurs parchemins sur le sujet qu'un chevalier sans monture s'apprétant à disputer un tournoi, c'est avec une pointe de désespoir dans le regard qu'elle chercha une réponse miraculeuse dans les bas reliefs des murs du salon.

Un toussotement entendu de la vieille dame la rappela à l'ordre, et Alyssa sorti de sa rèverie pour fixer à nouveau la table. La main encore endolorie par un maniement un peu abusif de l'épée la veille, elle posa la plume et pris sa tête entre ses mains, décroisant les jambes et donnant un coup de pied rageur pour se dépétrer de la robe de voiles gris perle. Ce n'était pas la première fois qu'elle venait sans avoir relu ses livres. Mais l'épreuve par écrit qui lui était imposée serait une preuve de son manque de serieux que la septa ne manquerait pas de montrer à ses parents aussitôt la leçon terminée. Depuis cinq longues années, depuis qu'Alessander était parti, elle n'avait eut de cesse de faire des efforts pour combler les espoirs de ses parents, et surtout de sa mère, de devenir une parfaite lady. Pourtant la preuve était là, dans le néant de la page blanche, qu'elle était loin d'en être une. Crispant les poings dans ses cheveux bouclés, la brune commença à se demander si elle y arriverait un jour. Incarner la perfection de son frère, mais au féminin, tel était son but. Les yeux perdus dans le vide, la jeune Desdaings sentit sa gorge se serrer. L'eau avait coulé sous les ponts, mais elle n'avait toujours pas digérer le fuite de son frère ainé, qu'elle avait vécu comme une trahison. Il avait cependant pris la peine de faire passer un petit message par leur père. S'il savait où il pouvait se le mettre son message. Qu'il n'avait pas voulu affronter leur mère, elle le comprenait, mais elle, pourquoi n'était il pas venu la voir pour lui dire aurevoir?

Alyssa remarqua à peine la septa qui posa avec une certaine hate son livre avant de se lever."Lady Desdaings". Un frisson parcouru tout le corps d'Alyssa, de ses orteils jusqu'à la racine de ses cheveux. Jamais, au grand jamais, sa génitrice n'avait pointé le bout de son nez lors d'une leçon. Elle se tourna et la vit, elle était là, avançant d'un pas félin vers le centre de la pièce, son regard de serpent ignorant d'abord la vieille dame pour se braquer ensuite dans ceux de sa fille. Pourquoi les Sept étaient-ils si cruels. Pourquoi n'était-elle pas venu à la leçon de la veille, où la jeune Desdaings avait pour la première fois été complimentée par la septa? Soutenant tant bien que mal le regard si semblable au siens de sa mère, Alyssa esquissa un sourire légèrement crispé. "Bonjour, mère."


Dernière édition par Alyssa Desdaings le 03.09.14 10:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [La Verfurque] Qui frappe les buissons en fait sortir les serpents [pv Alyssa/Cerenna] [Beaumarché] [La Verfurque] Qui frappe les buissons en fait sortir les serpents  [pv  Alyssa/Cerenna] [Beaumarché] Icon_minitime11.08.14 18:45

Ses sandales légères claquaient doucement sur le sol, l’écho de ses pas se perdant dans le long couloir qu’elle traversait. Tout de pierre blanche, il était parcouru dans toute sa longueur par de splendides bas-reliefs sculptés à même les murs et sur lesquels la lumière colorée des vitraux présents sur la face Est du bâtiment venait se poser délicatement. Il plaisait à Cerenna de se promener ici tôt le matin, quand le soleil était encore jeune et où les mosaïques de couleurs peintes par sa lumière étaient les plus somptueuses. Un moment en dehors du temps, juste avant d’affronter les responsabilités qui lui incombaient en tant qu’épouse du Seigneur de Beaumarché. Un instant de répit, dérisoire et pourtant nécessaire. Elle s’arrêta un instant. Faisant deux pas, elle s’approcha d’un vitrail et regarda au travers du verre bleu pâle. L’Eté avait toujours sied au Conflans et à ses paysages verdoyants. Mais combien de temps encore celui-ci durerait-il ? Si long, si doux…Elle ne se sentait pas d’humeur à revoir le gel glacer l’eau de la fontaine de la cour, ou encore le vent glacial venir brouiller ces mêmes vitraux qui supportaient si mal le froid. Comme pour bien des gens nés dans une région si douce et si clémente, l’Hiver était pour Cerenna un de ces hôtes que l’on accueillait avec la patiente et ferme résolution de les voir repartir au plus vite. n’y a-t-il que les Starks pour l’accueillir comme un vieil ami. Elle soupira et détourna le regard, comme mue par la peur de voir un flocon glisser sur la fenêtre. Elle reprit son chemin, d’un pas plus rapide.

Avisant une grande porte de bois sculpté, elle rejeta par-dessus son épaule un bout de la longue étole de soie vert d’eau qui lui couvrait les épaules. Un rayon de lumière vint se refléter sur une des larges manchettes d’argent ouvragé qui lui enserrait les avant-bras. Les battants de la porte étaient déjà ouverts. Les deux gardes se tenant de chaque côté de l’ouverture restèrent donc parfaitement immobiles en voyant arriver la maitresse des lieux, se contentant de la saluer d’un signe de tête respectueux lorsqu’elle passa entre eux. « Lady Desdaings » soufflèrent-ils dans un murmure presque simultané. Aucun signe, aucun regard dans la froide indifférence de la Lady ne pouvait leur dire si Cerenna les avait entendus, ou même seulement vus. Elle n’aimait guère ces gardes. Ils étaient des soldats à la solde de son mari, fidèles à Criston et aux Tully. Dans la garnison permanente du château, rares étaient ceux en qui elle avait confiance. Et ces deux-là n’en faisaient pas partie.

Continuant de pénétrer toujours plus profondément dans la petite pièce, Cerenna posa sur Alyssa son regard opalescent, que la lumière matinale rendait encore plus pale et irisé qu’à l’ordinaire. Elle ne répondit pas au salut de sa fille, plantant ses yeux dans les siens comme on plante une dague dans l’aile d’un oiseau pour ne plus le laisser partir. Ce que la pauvrette comprit comme tel, au vu du regard presque désespéré qu’elle rendit à sa mère. Les raisons qui auraient pu expliquer ce regard étaient multiples. Mais sans doute le fait que ce fut-là la toute première fois que Cerenna daignait assister à un des cours donné à sa fille était le plus désarmant pour l’adolescente. S’arrêtant enfin à quelques pas du bureau, Cerenna elle-même avait du mal à croire ce qu’elle était en train de faire. C’était assurément étrange de voir Alyssa dans cette pièce, sur le siège même où elle avait tant de fois admiré Alessander suivre ses leçons. Etrange et désagréable. Elle essaya un instant de ressentir la même fierté qu’elle ressentait en voyant son fils étudier, puis, faute d’y arriver en voyant le visage de sa fille, elle détourna la tête pour enfin regarder la vieille Septa. « Septa Ilyra. » s’entendit-elle dire d’une voix douce et solennelle. Lui faisant signe de se rassoir, un mince sourire flottant sur ses lèvres, elle contourna le bureau sur lequel trônait le fruit du travail de l’élève. Ce qui valut à Alyssa un nouveau regard, pas moins froid que le précédent, mais plus bref. Posant son long doigt fin sur la page blanche, puis le faisant glisser sur la surface immaculée en s’éloignant, elle s’adressa à la vieille dame.

-Sur quels seigneurs et quelles batailles se portent vos leçons ces jours-ci ?

-Nous étudions les guerres qui opposèrent jadis les seigneurs des Iles de Fer aux Seigneur des Terres de l’Orage…

-…Pour la possession du Conflans, coupa-t-elle, terminant la phrase de la Septa d’un ton sur.

Un Serviteur avait fait apporter une nouvelle chaise pour l’épouse du Seigneur avant de s’effacer. Cerenna prit place, son dos droit et élégant appuyé contre le dossier. Elle posa un regard interrogatif sur sa fille. Un regard qui en disait suffisamment long pour faire savoir à quel point elle s’étonnait de la voir si peu inspirée par le sujet qui lui avait été donné. Un regard auquel la Septa s’empressa d’apporter une justification.

-C’est une période trouble, Ma Dame, de nombreuse batailles célèbres ont eu lieu en ces jours sombres. Des jours qui ont vu passer des morts et des victoires toutes aussi glorieuses qu’innombrables, et je conçois qu’il soit difficile de se rappeler pour un esprit aussi jeune que celui de Lady Alyssa de la totalité des batailles qui firent rage.

Deux jeunes pages entrèrent discrètement dans la pièce pour poser sur le guéridon qui trônait aux côtés de Cerenna un plat débordant de fruits. Lorsque l’un d’eux lui proposa une coupe de vin, la Lady l’arrêta d’un doux geste de sa main. « de l’eau suffira ».

-Cependant… Malgré toute la persévérance dont je suis capable, c’est à peine si votre fille peut me dire pourquoi ces Lords se sont battus si violemment pour cette région !

Le couperet était tombé. Alyssa la décevait, inévitablement. Si Alessander voyait souvent son intelligence brulée par la témérité qui coulait dans ses veines, il avait, et de loin, l’esprit assez aiguisé pour deviner les réponses à des questions aussi basiques et répétitives qu’étaient les raisons qui poussaient les hommes à se faire la guerre. La maitresse des lieux, qui croisa ses jambes, continuait de regarder son rejeton. Alyssa ne pouvait représenter dignement la famille tant qu’elle ne connaitrait pas l’histoire de leur royaume sur le bout des doigts. Dans son mépris, Cerenna décida cependant d’encourager sa fille en attaquant le problème de son blocage à sa source : une connaissance absolument inexistante des maisons de Westeros et des terres qu’elles régissaient.

-Ne vous inquiétez pas pour cela, Septa Ilyria. Son ton doucereux condamnait intrinsèquement la Septa au silence jusqu’à ce qu’elle lui donna de nouveau la parole. Elle se tourna vers sa fille. - J’imagine que tu as étudié les différentes maisons des Iles de fer. Commençons par cela. Cites-moi quelques-unes des plus influentes familles de seigneurs insulaires et ce que tu sais d’elles. Et surtout, rappelle-moi donc sur quel territoire ils règnent, leurs forces et leurs faiblesses.

Dardant sur la jeune fille un regard expectatif, elle porta doucement la coupe qu’on venait de lui servir à ses lèvres.
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Alyssa suivit sa mère du regard, alors que cette dernière, ne daignant pas répondre, ne serait-ce que par un geste de la tête à son salut, s'éloignait vers la septa, qui s'était levée pour l'arrivée de l'épouse du seigneur. Jamais auparavant lady Desdaings ne s'était montrée lors d'une leçon de sa fille avec une septa. Pourtant autrefois il n'était pas rare de la voir arriver à l'impromptue pendant les leçons de son fils, et d'y assister en silence, assise sur une chaise, son regard aujourd'hui si froid alors rempli de fierté. Peut être essayait-elle en regardant Alyssa de retrouver ce sentiment de fierté que la maternité devrait si facilement lui apporter. Mais la jeune Desdaings, soumise aux prunelles opalescentes de sa génitrice, ne mis qu'un instant à comprendre qu'en entrant dans cette pièce la lady avait vu ses attentes, aussi basses soient-elles, être confirmées. Elle vint jusqu'à poser son doigt sur le parchemin, comme pour sceller l'incapaciter de la jeune fille à devenir ce qu'elle devait être. Alyssa avait souvent prié pour que la vipère apparaisse lors de ses leçons, elle avait tant espérer qu'un jour elle serait regardée par elle comme son ainé, au moins un instant. Hélàs elle devrait encore attendre, car ce jour là n'était pas celui où enfin elle verrait tous ses efforts récompensés. Encore une foi, elle allait endurer les seuls mots que sa mère lui avait jamais adressé: des reproches.

Semblant flotter au dessus du sol, la vipère s'éloigna pour aller questionner la septa sur le contenu des dernières leçons. C'était l'intitulé même de l'écrit qu'elle se devait de rendre. Les guerres sans interêt de certains hommes contre certains autres pour la possession des terres sur lesquelles elle vivait en ce moment même. Si le sujet était loin de la passionner, elle savait parfaitement que lady Desdaings serait, quand à elle, disposée à parler des détails de ces conflits des heures durant. Ses yeux gris observant les deux femmes qui parlaient sans lui préter attention, Alyssa posa la plume à côté du parchemin, posant les coudes sur la table dans une attitude nonchalante, à l'opposé du maintient royal de sa mère. Cette dernière venait de prendre place sur une chaise apportée avec hâte par un serviteur qui vu son attitude craintive, avait sans doute déjà fait les frais des crocs de la femme serpent. Mais il n'avait rien à craindre car pour le moment, Lady Desdaings gardait son venin pour sa cancre de fille. Alyssa haussa les sourcils de surprise en entendant la vieille femme prendre sa défense, avant que ne tombe les paroles qui signeraient l'arrêt de mort de la jeune brune. La jeune fille soutint le regard que sa mère posa sur elle par politesse, car elle mourrait d'envie de baisser les yeux vers ses mains qui jouaient nerveusement avec les bracelets qu'elle portait aux poignets.

-J’imagine que tu as étudié les différentes maisons des Iles de fer. Commençons par cela. Cites-moi quelques-unes des plus influentes familles de seigneurs insulaires et ce que tu sais d’elles. Et surtout, rappelle-moi donc sur quel territoire ils règnent, leurs forces et leurs faiblesses.

La journée allait être longue, très longue, se dit la jeune Desdaings. Elle avait eu l'innocence de croire qu'après un rapide état des lieux, la vipère allait repartir à ses occupations de femme de seigneur. Au pied du mur, elle n'avait d'autres choix que de répondre à la question posée. Lady Desdaings ne s'en irait pas, et assurément aucun évènement inattendu comme un invité ou une guerre viendrait la sauver de cet interrogatoire. Elle devait faire ce qu'elle n'avait jamais fait, prendre ses responsabilités, et assumer son ignorance face à la personne qu'elle craignait le plus. Sa génitrice avait eu la fausse bonté de modérer sa question en ne lui demandant de ne citer que quelques noms de familles, et même si elle était persuadée que sa mère l'en savait incapable, cette dernière ne serait assurément satisfaite que si Alyssa lui étalé sans s'arréter la liste des familles de seigneur et tout les détails qui les entouraient. Se redressant légèrement, la jeune fille pris une longue inspiration pour se donner le courage d'énoncer le peu qu'elle avait à dire.

-Et bien...il y a les Greyjoy. Elle risqua un regard d'appel au secour à la septa, bien qu'elle savait que cela ne donnerait rien, et que la vieille dame ne risquerait pour rien au monde de prendre la défense d'une si mauvaise élève face à la vipère. Leur emblème est un...une seiche jaune,...sur fond noir?

Point final. Voilà le bien triste résumé de tout ce que savait Alyssa sur les seigneurs des Iles de Fer. Son ignorance était telle qu'elle était même incapable de broder pour essayer de donner un peu de consistance à son discours sans risquer de dire des bétises géographiques ou politiques. Un long silence suivit, pendant lequel elle essaya tant bien que mal de ne pas baisser les yeux. Elle redoutait que sa mère ne prenne la parole, aussi elle pris l'initiative de parler à nouveau, en détournant le sujet.

- Ce matin avant de rejoindre Septa Ilyra, j'ai commencé une broderie. Bien entendu ce n'est que le début, j'ai simplement fait le dessin, j'ai à peine commencé à broder. Je pourrais vous le montrer si vous voulez? Bien entendu les talents de dessinatrice et de brodeuse de la jeune Desdaings étaient à la hauteur de sa connaissance profonde de l'Histoire de Westeros, autrement dit ils ne valaient pas la peine de chercher à les apercevoir. Pourtant c'est avec un aplomb presque insolent qu'elle avait parlé, comme si sa confiance en elle pouvait convaincre la vipère qu'elle avait bel et bien des talents de brodeuse cachés pendant 15 longues années. Il était évident que la discussion qu'elle espérait avoir entamée ne pouvait porter sur le programme de l'après midi, puisqu'Alyssa avait prévu de le passer en compagnie des chevaux, et surtout d'Isendre, son demi-frère batard que sa mère abhorrait.

-J'aime bien votre robe, elle est nouvelle? Elle vous va à ravir. Un sourire crispé s'étirant sur ses lèvres rosées, la jeune fille fit mine d'examiner du regard la tenue de lady Desdaings, bien que les robes et les autres froufrous des femmes nobles lui importait autant que de savoir quel était le plat préféré du page qui venait de servir à nouveau de l'eau à sa mère.
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