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Uchronie du Trône de Fer de George R.R. Martin. Venez incarner un riche Lord, un noble chevalier, un seigneur ruiné ou un roturier dans le Royaume des Sept Couronnes !
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298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL

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Roi Robert
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime04.05.13 20:41

Ce qu'il y avait de bien quand on était Roi, c'est que personne ne se sentait jamais le courage de contester vos décisions. Aussi, lorsqu'il avait donné ses ordres, Robert était bien conscient qu'il serait obéit au doigt et à l’œil dans l'instant. Et bien évidemment, cela ne manqua pas, les manteaux d'or ne tardèrent pas à arriver et les chevaliers de la Garde s'étaient déployés conformément à ses ordres. Le problème, c'est que ça rendait les choses beaucoup plus complexe; de son perchoir, le Roi avait une bonne vue sur la salle entière, mais avec tout ce qu'il se passait, il était impossible de surveiller tout le monde. Robert Barathéon cherchait toujours des yeux son fils, espérant que ce dernier n'était pas là au début de l'attaque. Il cherchait aussi Ned, ce brave Ned. Il y avait tant de personnes importantes réunies ici ce soir, tant de cible potentielles pour les salauds qui avaient fait irruption dans la salle.

C'est donc en pleine séance d'observation que le Roi fut interrompu par un chevalier qui avait réussit à se frayer un chemin jusqu'à lui. Et s'il eut la politesse de l'écouter jusqu'au bout, cela n'empêcha aucunement le rouge de lui monter aux joues. Pour qui se prenait cet imbécile impertinent à lui parler ainsi ? Lorsqu'il vit la masse voler vers lui, Robert l'attrapa d'un coup et, par réflexe, la soupesa doucement, avant de poser son regard sur l'intrus. Ses yeux s'étaient fait beaucoup plus dur, et lorsqu'il avança, il paraissait étrangement menaçant, malgré son embonpoint.

Comment oses-tu me parler de courage ?! Toi qui amène des guerriers à attaquez des gens sans défense ? Des femmes et des enfants ?! Il t'a sans doute fallut beaucoup de courage pour abbattre ces gardes et venir ici pour frapper des hommes et des femmes en train de manger, sans arme et sans défense ?

Levant la masse comme si elle ne pesait rien, il la pointa sur son accusateur, élevant encore le ton.

Crois-tu que j'ai oublié le Roi Fou ? Crois-tu donc que j'ai oublié pourquoi je me suis battu à l'époque ?! Tu devrais t'en rappeler aussi ! Si le peuple tiens à retrouver un Roi Fou sur le trône, qu'il vienne ! Je ne bougerais pas en attendant !

Puis, il engloba la salle de son regard et d'un geste de la main.

Tu as bien fait de ne pas amener ton écuyer ici ! Je ne voudrais pas qu'un garçon déshonore mon sang en participant à une telle mascarade ! L'aurais-tu entraîné pour affronter des gamines ? Est-ce là tout ce que tu enseigne à tes écuyers ?

Soudainement, alors qu'il allait poursuivre son discours, une scène attira son attention. Il voyait le chevalier blanc de la Garde qu'il avait envoyé sauvé sa fille. Des cadavres étendus non loin, des silhouettes floues, inconnues, la fille Stark. Et sa fille, au sol. La Princesse Myrcella était étendue par terre et un homme s'affairait autour d'elle. Robert ne pouvait pas voir d'ici ce qu'il se passait, mais il en avait largement assez vu. La colère se propagea dans sa colonne vertébrale comme un feu brûlant, et elle s'épanouit dans sa cervelle comme une flamme. Le reste de ses fonctions étaient totalement paralysés. Tout ce qu'il voyait, tout ce qu'il pensait, c'est que quelqu'un avait blessé sa fille, la chair de sa chair, le sang de son sang. On l'avait attaqué, alors qu'elle était au plus vulnérable, et on venait maintenant lui faire des leçons de courage ?!

« Nôtre est la Fureur ». Telle était la devise des Barathéon, et personne ne l'avait jamais aussi bien porté que Robert Barathéon, Roi des Sept Couronnes et Protecteur du Royaume. Porté par la colère, il était indestructible, il était le meilleur guerrier qui puise être. Il était celui qui avait terrassé Rhaegar au Trident. Envahi par la rage, le Roi ne vit plus son adversaire, il ne vit plus sa fille. Il vit Lyanna, en sang, telle que Ned l'avait raconté. Et à la place du vieux chevalier errant, il vit un homme de grande taille, enveloppé dans une armure noire aux reflets de sang. Lorsque la tête de son ennemi fut remplacé par un casque aux ailes préfigurant un dragon, il n'y tient plus.

Avec un hurlement de rage, Robert Barathéon se jeta en avant, la masse déjà prête dans sa main. Mais ce n'était plus une masse, c'était son marteau de guerre. Il n'était plus dans la salle de réception du Donjon Rouge, il était au Trident. Il ne pesait plus rien, 17 ans de graisse avait disparu, remplacé par les muscles qu'il avait alors. La rage avait tout effacé. Il y avait autant de force et de vitesse dans ses coups que s'il était encore jeune et fringuant, s'il était encore le Seigneur de l'Orage, combattant pour son aimée.

Il allait faire payer la blessure de sa petite fille, et comme chaque fois que Robert Barathéon se lançait dans une vengeance, il ne s'arrêterait que lorsque ce serait finit. Ou lorsque la fureur aurait terminée de le consumer.
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Arya
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime08.05.13 17:37

Arya était figée de stupeur. Elle était l'otage d'un homme d'arme qui venait de dieux sait où et elle avait, tout comme Myrcella, un couteau sous la gorge. Mais dans quel monde de fou Arya avait-elle débarquée?

Je savais que je n'aurais jamais dû quitter Winterfell! se dit la jeune Stark. À Winterfell il n'y a pas de gens comme ceux-ci qui s'en prennent à des innocents qui soupent! Bien qu'elle le pensait, les mots défilaient à toute vitesse dans son esprit alors que son expression faciale exprimait une terreur profonde. C'était la peur de mourrir, là, aux côtés de Myrcella ― et devant Sansa ― quil a terrifait davantage. En faite, l'idée de mourrir tout cour la clouait sur place. Elle eut une pensée pour toute sa famille, mais surtout pour Bran et Jon. Leurs histoires à dormir de bout, sur les grandes batailes de Westeros allait terriblement lui manquer. Arya pensait à comment, si Bran serait là, elle empoignerait Aiguille et fenderait l'air de sa lame. Comme Jon lui avait conseillée, elle aurait transformé ses agresseurs en écumoire. Arya ferma les yeux, prête à affronter son destin, bien qu'elle espérait que sa mort soit brève et peu souffrante.

Puis, le couteau qui était placée sous sa gorge tomba au sol en un écho subtil, comme s'il avait échappé un aiguille au sol et que le silence amplifiait tous les sons imaginables. Arya avait ouvert les yeux de surprise, pour voir avec perplexité que son aissaillant gisait au sol, plaidant à qui voulait l'entendre qu'il était innocent. Lorsqu'Arya tourna le regard vers Myrcella, celle-ci gisait au sol, une traînée de sang tachant son visage. Arya voulut crier pour exprimer son horreur mais son corps l'en empêcha. Il lui était impossible de sortir quel son que ce soit. C'était tout simplement cauchemardesque.

Arya s'approcha lentement de Myrcella. Tellement lentement qu'on aurait cru à une transe. La jeune Stark s'agenouilla auprès de son amie et contempla sa blessure. Sa vie n'allait pas être en danger, certes, mais il lui fallait les soins d'un mestre au plus vite! Arya ne connaissais pas le mestre de la famille royale. Elle l'aurait ben appelé si elle savait qui et où. Près d'elle, il y avait Ades qui rampait piteusement. Il avait été blessé durant le combat. Arya se sentait infiniment impuissante. Ades lui indiqua qu'il n'avait vu Lord Stark nulle part dans la salle. Arya commençait sérieusement à s'inquiéter, surtout que maintenant, elle ne voyait plus Sansa non plus.

- Un Mestre !! Vite ! s'écria Ades.

Arya opta pour l'option de rester calme près de Myrcella et de ne pas attirer l'attention. La dernière chose qu'elle voulait, c'était de se faire remarquer. Par contre, à l'autre bout de la salle, il y avait le Roi Robert qui fulminait. Arya ne pouvait distinguer les mots qu'il prononçait, mais à l'intonation et les grands gestes colérique qu'il exprimait, elle devinait qu'il était visiblement en colère contre les salauds qui avait massacré le banquet royal.

Le Roi avait toujours eu quelque chose d'effrayant pour Arya. Bien qu'il était rondouillard et qu'elle le voyait souvent avec son père, rigoler et s'entretenir d'uen manière des plus amicale, Arya savait que tout homme avait un côté sombre. Le visage colérique du Roi émerveillait et effrayait en même temps la jeune Stark. Elle regardait, avec curiosité et frayeur les pas déterminé de son souverain. Elle ne remarquerait peut-être même pas le mestre s'il devait arriver dans les prochains instants...
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The Fate




The Fate
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime07.06.13 18:36


Banquet Royal
Event
Pauvre enfant, Myrcella défigurée, Princesse, et sur ce sanglant malentendu, elle perdait une bonne part de sa valeur, mais elle restait la fille du Roi, aussi pour elle tout n’était pas encore perdu. Mais sa beauté, le visage que tous louaient et qui était promis au plus radieux des avenirs était balafré, creusé d’un sillon duquel s’écoulait des flots de sang d’un beau rouge vermillon. Elle gisait là, au milieu des invités qui désormais s’étaient tournés vers le Roi et ce chevalier inconnu qui osait lui parler comme un parle à un vieil ami qui nous a trahit, médusé par la scène et surtout pressé de voir la suite.

Le Chevalier n’était pas d’ascendance noble, il n’avait rien d’autre que son armure cabossée et sa hache, lui, sa sœur et le bâtard du Roi vivaient dans une masure en torchis avec quelques arpents de terre à cultiver. Et s’il avait conservé un profond respect pour Robert jusqu’à il y a peu, il était désormais d’autant plus déçu qu’il lui portait la plus indéfectible loyauté. Mais depuis qu’il était arrivé à Port-Real, il avait eut l’occasion de voir comment le Roi traitait son peuple, ou tout du moins à quel point il s’en fichait, les indigents manquant de tout alors que lui se goinfrait. Qu’il n’ait pas eut le moindre égard pour son fils n’était pas une surprise et Ser Farlon ne lui en avait jamais voulut, mais qu’il ose dépenser autant d’argent pour un Tournoi inutile alors que la ville grouillait d’orphelins, c’était plus qu’il ne pouvait en supporter. Il n’était pas prêt à se taire, pas plus qu’il n’avait l’intention de fuir, il voulait simplement savoir s’il s’était trompé en prenant les armes pour Robert Barathéon et lui rappeler qu’en devenant Roi, il s’engageait à protéger son peuple tout comme un Chevalier fait le serment de protéger le faible. Et qu’un souverain qui ne respectait pas cette promesse ne valait pas d’avantage qu’un chevalier qui se parjurait.

« C’est là ta seule réponse à mon défi ?! Je n’ai jamais voulut que des innocents soient tués, mais c’était inévitable, la faim et la peur sont de puissants ressorts. La couardise de certains de mes compagnons me répugne autant que la tienne Robert, mais contrairement à toi, ils n’ont pas de Garde Royale, pas de Manteaux d’Or, ils n’avaient rien de plus que leur vie et ils l’ont risqué pour que mon message passe. Ils sont morts pour ce message, j’espère simplement que tu sauras écouter, eux comme moi étions préparés à mourir ce soir pour ces quelques mots, ils sont désormais entre tes mains. »

S’il se sentait responsable de se massacre, il s’y était préparé et il ne craignait pas de mourir. Et si les dommages collatéraux existaient, il espérait que son message passerait. Peut-être pas tout de suite, mais dans quelques jours, peut-être plusieurs semaines, que son Roi y penserait et y réfléchirait, sinon, tousses morts le seraient en vain. L’espoir restait, le dernier. Mais en entendant Robert parler à tort de l’éducation qu’il avait donnée à Robin, sa rage se réveilla.

« Je lui ai appris ce que tu m’avais appris ! Le courage, le respect. Mais s’il oublie un jour, mes enseignements ça ne sera que parce que dans ses veines coule ton sang ! Il voulait venir pour te voir, il voulait voir son père Robert, tout simplement. »

C’est alors que Robert cessa un instant de le regarder avant de se jeter sur lui. Surpris, le guerrier leva sa hache au dernier moment pour parer le coup, mais malgré tout, il y parvint, presque surpris par la force du Roi qu’il pensait amoindrie par son tour de taille. Non, il était toujours l’homme incroyablement puissant qui lui avait fait prononcer les mots. A cette idée, que peut-être le Robert qu’il avait connu n’était pas mort, un petit sourire se dessina sur ses lèvres et il se jeta à corps perdu dans le combat. Il fit un pas de côté pour laisser passer son adversaire et le frappa à son tour. L’acier contre l’acier, comme la forge des sept enfers, la force des deux hommes se valant, les invités du banquet désormais rassuré de l’issue de tout cela assistait à un combat de titans. Farlon grognait quand il contrait tant la puissance des coups était prête à le faire plier, et lui aussi frappait de toutes ses force. Une seule différence entre les deux guerriers, l’un se battait pour ne plu douter de son ancien mentor, l’autre pour tuer. Il y avait fort à parier que le second avait plus de chance de toucher que le premier qui ne portait que des coups qu’il savait que son Roi pourrait contrer, ne souhaitant pas même le blesser.

« Aaaaaaaaaaah ! Mamannnnnnnnnnnnnnn ! »

La Princesse Myrcella s’était éveillée doucement sentant les mains étrangères mais attentionnées d’Ades sur son visage, elle avait mal et pour comprendre elle avait porté ses mains sur sa blessure. Sentant alors la profonde entaille, elle avait hurlé de peur de douleur et de stupeur. C’est alors que tous se tournèrent vers l’enfant mutilée et que l’horreur s’empara du reste de la foule, Farlon compris, qui n’avait pas vu la jeune fille blessée. Jusqu’ici il avait pu se rassurer en se disant qu’aucun invité désarmé ne semblait avoir été gravement blessé, un soulagement pour lui, mais là, les choses changeaient radicalement. Il abaissa alors son arme et mit un genou en terre face à Robert, prêt à être exécuté pour ce crime abjecte dont il était responsable indirectement.

Tous restèrent un moment stupéfait, mais des hommes présent dans la pièce finit par se décider à aller chercher un Mestre et bientôt, se fut Mestre Pycelle qui vint, trop vieux s’agenouiller aux côtés de l’enfant, il demanda qu’on l’amène dans sa chambre pour qu’il puisse le soigner.
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Jaime Lannister
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime22.07.13 9:28

La blessure à son épaule, aussi superficielle soit elle, commençait à se faire ressentir.
Durant le combat Jaime n'avait pas senti la lame venir ouvrir son épaule, l'adrénaline du combat l'en avait quelque peu anesthésier.
C'est après avoir regardé le Roi et Cersei, que Jaime senti la douleur, mais il n'y avait pas de quoi en faire toute une histoire, d'autres que lui avaient plus besoin de soins.
Alors que l'ensemble des personnes commençaient à se remettre des combats, cherchant leurs amis, familles ou maitres, Robert et notre "honorable invité" entrèrent dans une danse, une danse d'un duel qui se terminera non par une courbette d'échine pour saluer le publique, mais par une mort, celle du chevalier, du moins espérait Jaime.

Le combat était violent et la rage que portait Robert envers son adversaire l'était tout autant.
Etait ce comme ça, au Trident ? Si les coups de Robert étaient les même que ceux qu'il avait portés contre Rhaegar, Jaime compris mieux pourquoi le plastron même du Prince avait exposé ainsi que sa cage thoracique.
La mort du Prince avait du être plus longue et plus douloureuse que celle de son père, qui lui, une fois au sol, se fit rapidement égorgé par Jaime.
Pour avoir tué le Roi Fou, Jaime eu le surnom de Régicide, mais Robert n'eut aucun surnom pour avoir tué Rhaegar, il eut comme récompense le titre de Roi. Quelle injustice.
Les deux combattants frappaient et paraient les coups l'un après l'autre, les armes dansaient et chantaient l'une contre l'autre, Jaime espérait que celle de Robert allait terminer son chant dans le corps de l'assaillant.

C'est alors qu'un horrible crie aigue lui glaça le sang et le fit frissonner de toute part.
Une jeune enfant, terrorisée criait et appelait sa mère, Jaime, comme toutes les personnes, se tourna vers cette voix, c'était la jeune princesse qui pleurait, son visage était en sang et ouvert d'une sérieusement entaille.
Jaime pâlit d'un coup à la vue de cette horreur.
Myrcella, blessée et surtout défigurée à vie ?
Son beau visage et son sourire innocent, terminé ! Marqué à vie par un pauvre imbécile qui s'en est pris à une enfant.
Qu'ils crèvent, qu'ils crèvent tous !

Jaime ne l'avait pas remarqué au début, il ne s'en était pas souciait en sachant que Barristan Selmy devait la protéger. Vu la gloire et le passé du Hardi, il n'y avait aucune raison de s'en souciait. Il avait eu, visiblement, tort.
Le Lord commandant de la Garde Royale, avait donc échoué dans sa tâche ?

Comment pouvaient ils blesser une jeune fille ? Sa...Nièce, en pleure et défigurée, mis Jaime mal à l'aise, il voulait le faire payer aux autres. Quant à aller à ses côtés ? Inutile, trop de monde l'entourait déjà, et ils verraient tous le Régicide sous un autre angle, sous l'angle d'un père qui s'inquiète pour sa fille.
Pourtant il s'en inquiétait bien, il avait vraiment l'envie d'aller voir Myrcella et de la prendre dans ses bras.

Jaime crispa la mâchoire et fronça les sourcils en voyant l'autre chevalier se mettre à genoux devant Robert.
Ce crétin aurait du y réfléchir, avant d'attaquer des invités sans défense, Jaime voyait dans le geste du Chevalier, que ce dernier avait des regrets, mais il est trop tard, là voilà maintenant défigurée, la petite Myrcella.
Toujours en compagnie des Tyrell, il regardait le chevalier à genoux devant le Roi, Jaime tenait encore son épée dans la main droite, et il passa la gauche dans ses cheveux, dû à l'énervement de ce qu'il est arrivé à la jeune Princesse.
" Un Lannister paie toujours ses dettes ", se disait Jaime, Myrcella en étant une, le vieux Chevalier Farlon devait le payer de sa vie.

Le coeur de Jaime battait de plus en plus vite, sa respiration allait de plus en plus fort et ses doigts se crispèrent sur le manche de son épée. La haine montait, de plus en plus, avec la grande envie de tuer ce...Appelons le Chevalier.
Quoi qu'il arrive, ce vieux Chevalier devait mourir, que ça soit des mains du roi ou de celles de Jaime.
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Roi Robert
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime25.07.13 19:04

La masse émit un sifflement en passant au-dessus de la tête du chevalier, le Roi ne l’avait raté que d’un cheveu. A la vérité, Farlon avait sans doute été sauvé par le fait qu’il s’était agenouillé au dernier moment. Evidemment, Robert Barathéon ne manqua pas de remarquer ce brusque changement de comportement, mais il était tellement emporté dans son combat qu’il hésita un moment, reprenant sa masse bien en main. Il observa le corps agenouillé devant lui, et soupesa l’arme qu’il avait entre les doigts. Les masses étaient des armes rapides à ses yeux ; plus massives qu’une épée mais bien plus légère que son incroyable marteau de guerre. Comme lui, elles étaient conçus pour écraser, pour faire exploser, pas pour trancher et découper. Une mort donnée par un tel objet ne pouvait être que longue et douloureuse, et actuellement, c’était bien la seule chose qu’il avait envie d’offrir à cette homme.

Prenant son élan, le Roi se jeta brusquement en avant en poussant un véritable hurlement de rage et il abattit son arme, droit devant lui.

Un immense fracas retentit quand elle atteignit le sol et des morceaux de carrelage volèrent un peu partout autour d’eux. Robert avait frappé tellement fort que l’arme resta fiché dans le sol, même lorsqu’il la lâcha. Pendant de longues secondes, il sembla hésiter à reprendre son arme. Puis il s’avança de nouveau, et avec un cri de rage, il colla son poing droit dans la figure du chevalier, avec une force telle qu’il le fit retomber au sol.

AU CACHOT !

Sans attendre la réaction des gardes, le Roi descendit de l’estrade et se jeta dans la foule, il se mit à courir, malgré son âge, malgré son poids, dans la direction de sa fille. Sans même s’en rendre compte, il marmonnait dans sa barbe des mots incompréhensibles.

Myrcella, ma petite fille … Ma toute petite …

Lorsqu’il arriva enfin à elle, au bout de ce qui lui sembla être une éternité, il ne put que constater les dégâts ; sa fille était au sol, blessée et défigurée. Pycelle se tenait à côté, ordonnant déjà qu’on l’amène à sa chambre. Robert ne pouvait rien faire, pas même la rassurer, tout ce qu’il avait envie de faire, c’était hurler sur des gens, et éventuellement leur exploser les dents à coup de poings. Mais personne ici ne semblait disposer à cela.

C’est alors qu’il avisa un jeune homme, agenouillé là où se trouvait Myrcella quelques secondes auparavant. Enfin, il s’agissait plutôt d’un gamin vu la carrure.

Qui es-tu, toi ?

Le môme se tourna vers lui, il avait des yeux étranges, qui n’étaient pas de la bonne couleur. Et Robert crut le voir blanchir.

A-Ades … De la maison Overton, votre Majesté.
Je connais pas cette maison, déclara brusquement Robert.

Sans plus s’intéresser à lui, le Roi se tourna vers le Garde Royal le plus proche. Selmy était le seul moyen de savoir ce qui s’était passé ici. Il semblait secoué mais indemne, ce qui n’empêcha pas Robert de lui hurler dessus.

SELMY ! Qu’est-ce qui s’est passé ici ?!
Je suis confus, mon Roi. Ils étaient trop nombreux. Ce jeune homme a tenté de les distraire, le temps que j’arrive, et il a réussi à se débarrasser de l’un d’eux. Mais pendant que je m’occupais d’un autre, le dernier a … attaqué votre fille. Je …. Je suis confus, c’est entièrement ma faute.

Même s’il avait conservé un ton professionnel durant l’exposé, Robert pouvait voir que le vieux chevalier était réellement désolé de ce qui venait de se passer. Il avait tout de même envie de lui mettre son poing dans la figure mais se contient. Au lieu de cela, il se retourna vers le gamin Overton ; lui s’était débarrassé d’un assaillant ? Et comment donc ? Il avait la carrure d’une femme, et peinait à se relever. Pire encore, il semblait utiliser une canne. C’est alors que Robert remarqua la blessure qui entaillait la cuisse du jeune homme. Il poussa un grognement, puis désigna le môme du doigt.

Trouvez lui un Mestre ! Et un lit ! On se dépêche.

Si ce môme avait réellement fait quoi que ce soit pour protéger Myrcella, il serait temps de discuter d’une quelconque récompense, ou sanction, par la suite. Pour l’heure, il avait des invités à virer et des ordres à hurler, il fallait qu’il canalyse sa rage sur quelque chose. Et il avait une cible toute désignée pour ça.

Régicide ! Tout va bien ? Tu n’es tombé sur aucun vieillard récalcitrant ?! beugla-t-il en traversant la foule.
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Arianne Martell
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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime26.07.13 15:53


Banquet Royal
Event

Arianne se releva en se tenant les côtes. Elle n’avait pas anticipé le coup de masse de l’assaillant. Elle repoussa le corps sens vie qui venait de lui tomber dessus. Un chevalier de la garde royale venait de tuer deux des attaquants de la jeune Stark. Elle remit rapidement le châle qui était tombé pour cacher son identité à la cour. Elle ne voulait pas forcément que tout le monde sache que les Martell étaient présent au banquet royal. Surtout qu’avec les Tyrell présent, cela n’était pas forcément l’idéal sachant les tensions qui régnaient entre Dorne et le Bief. Arianne aperçut un des assaillants qui n’était en réalité qu’un gamin trouillard s’enfuir. Elle n’avait pas le courage de le poursuivre. Elle regarda autour d’elle. Chaque groupe d’assaillant avait été attaqué par la garde royale. Le chevalier responsable de l’attaque c’était mis devant le Roi et lui avait dit ce qu’il pensait de sa façon de gouverner. Arianne était un peu d’accord avec le chevalier mais elle ne dirait jamais cela au Roi. Elle n’était pas suicidaire.

Le Roi semblait hors de lui, et elle regarda le combat entre le chevalier et le grand Robert Baratheon, vainqueur du prince Rhaegar au Trident. Sa force n’avait pas faibli ou si elle l’avait fait, elle ne voulait pas imaginer celle qu’il l’avait il y a dix-sept ans. Ce fut finalement un cri horrible qui déchira l’air, qui stoppa nette le combat. Le chevalier s’agenouilla devant le roi. Arianne se tourna alors vers le cri curieux. Elle vit la princesse Myrcella le visage en sang. L’héritière de Dorne resta stupéfaite. Ses petits chevaliers s’en étaient pris à la princesse, à la fille du Roi. Leur acte d’intervenir dans un banquet royal aurait pu paraitre courageux mais blesser l’enfant de leur Roi, était pour Arianne un acte de pure lâcheté. Comment pouvait-on s’attaquer à des enfants sans défense ? Hormis la Montagne et Locke, Arianne ne voyait pas. Même si la vie de la princesse n’était pas en danger, cela pouvait rappeler le massacre des enfants de Rhaegar et d’Elia de Dorne. Le massacre de ses cousins. La dornienne ne savait que faire. Devait-elle aller voir ou rester là ?

Le roi envoya au cachot le chevalier qui avait essayé vainement de s’excuser de cette bavure. Il risquerait sûrement de perdre sa tête. Le mestre du donjon rouge arriva rapidement près de l’enfant. Le jeune noble du Nord était également près de la princesse. Arianne n’avait donc aucune raison d’aller là-bas, surtout que le Roi se rendait auprès de sa fille.

Elle avait toujours sa dague dans sa main. Elle la serrait si fort et que ses jointures étaient devenues blanches. Elle desserra sa main de l’arme et fini par ranger sa lame. L’évènement était terminé.



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The Fate




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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime28.07.13 3:19


Banquet Royal
Event

Farlon regrettait, il n’avait jamais voulut que quiconque soit blessé et encore moins que la Princesse soit défigurée. Déjà il savait que pour cela il paierait de sa vie. Il aurait dû dire à son neveu, le bavard du Roi, de fuir, de partir. Qu’adviendrait-il de lui ? Sa sœur se retrouverait toute seule et…
Il avait fait une énorme erreur, venir dans ce banquet armé avec les autres, ces imbéciles qui s’étaient déshonorés en s’attaquant à des innocents désarmés, des femmes et des enfants. Il leur aurait broyé la gorge de ses propres mains s’il en était resté un seul encore debout, les Dieux soient loués, tous avaient déjà été tués par les Gardes royaux ou par d’autres. Cette attaque était aussi bête que dénuée de sens, quel idiot faisait-il de s’imaginer que le Roi les écouterait. Pourquoi écouterait-il des roturiers, déjà, et pis, des roturiers armés pendant une fête. Jamais le guerrier ne s’était sentit aussi mal, pas même la première fois qu’il avait enfoncé sa hache de bûcheron dans le corps de sa première victime au Trident et reçut en pleine figure, ses derniers toussotements sanglants. Non là il s’était sentit fort, mais désormais, il se sentait honteux et bête, bête d’avoir imaginé que le Roi se souviendrait de lui, bête d’avoir agit ainsi, et honteux que sa bêtise ait eut de telles conséquences.

Le chevalier errant serrait les dents à se briser les mâchoires. Il ne broncha pas lorsque la masse le frôla, et pas non plus lorsqu’elle s’abattit sur le sol juste à coté de lui. Il était prêt à mourir, car tout bien réfléchit, aussi légitimes soient ses doléances, elles ne valaient pas la vie gâchée d’une enfant. Mais la mort ne vint pas… contre toute attente, il se retrouva étalé par terre crachant quelques dents et pas mal de sang, un peu assommé, sa hache par terre un peu plus loin, mais vivant. Et quelques secondes plus tard, il fut relevé par les gardes qui devaient l’emmener manu militari, au cachot. Mais pour cela il devait encore traverser la pièce, et les gardes allaient lentement, car le Chevalier faisait deux fois leur taille et ils voulaient être certains qu’il ne leur échappe pas. Ainsi, Farlon put expérimenter la colère des invités. Ils hurlaient des noms d’oiseaux et pire, lui balançait de la nourriture à travers la figure. Il reçut même de la vaisselle et se contenta d’encaisser en baissant la tête. Au moment où il passait à côté de Myrcella, il put constater les dégâts et ne put que s’en vouloir encore d’avantage, retenant ses larmes de compassion pour la pauvre enfant. Il croisa le regard vairon d’un jeune homme, celui, noir, d’une belle jeune femme, celui de Ser Jaime, le Régicide et n’osa pas lever les yeux vers le Roi. Une éternité au moins s’écoula avant qu’il n’approche de la porte dans la foule qui s’écartait sur sn passage pour mieux l’insulter et lui jeter sa rage et des objets en tout genre au visage. Certains visaient mieux que d’autres se plut il à constater… de toute façon, il était déjà mort…

Pendant ce temps, Mestre Pycelle s’occupait de Myrcella. Il n’y avait donc aucun homme de science présent pour s’occuper d’Ades, mais il fut conduit par des servantes dans une chambre et elles appelèrent rapidement un mestre pour prendre soin de sa jambe. D’autres vinrent, en majorité des Septons pour vérifier qu’il n’y avait pas d’autres blessées et soigner ceux qui l’étaient ou les renvoyer à quelqu’un de plus compétant si c’était grave.

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MessageSujet: Re: 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL 298 - Lune 11 - Semaine 4 - Jour 1 - PORT REAL - Page 2 Icon_minitime02.09.13 21:55


Banquet Royal
Event

Le lendemain, Robert Baratheon, Roi des Andals, de Rhoynar et des Premiers Hommes, Seigneur des Sept Couronnes et Protecteur du Royaume, son épouse et toute la cour, encore sous le choc de l'attaque et de la terrible blessure de la Princesse, décidèrent de reporter le procès à la semaine suivant pour avoir le temps d'enterrer les victimes et de faire leur deuil.

Jaime Lannister, Frère Juré de la Garde Royale et amant de la Reine, mais aussi père de la Princesse malchanceuse eut tout le temps d'aller rendre visite au dernier survivant de la troupe de rebelle qui avait dramatiquement interrompu le banquet censé amortir un peu le coût du Tournoi de la Main. Au fond, il aurait peut-être préféré que cette rébellion, que ce chevalier aussi grand et costaud que le Roi, arrive à ses fins. Mais quelles étaient ces fins d’ailleurs ? En tout cas, pour sur la Princesse Myrcella ne méritait pas son sort. Quand au blond chevalier, il avait été légèrement blessé, mais il s’en remettrait vite. Plus vite que sa fille, plus vite que sa sœur, plus vite que le Royaume tout entier ébranlé par la nouvelle. Toutes ces pensées traversèrent son esprit quand il marchait dans les couloirs humides et sombres des geôles. Il crut un instant voir la grosse touffe hirsute de son beau frère avant que l'imposant chevalier ne se retourne. N'avait-il pas dit quelque chose dans la Salle du trône ? Son neveu... un bâtard du Roi. Encore un me direz vous, mais un qui était seul à Port-Real, probablement perdu, bien que désormais certainement informé par la rumeur de ce qui s'était passé et donc du sort de son oncle. Il devait ressembler comme deux gouttes d'eau à Robert jeune, avant qu'il ne devienne ce Roi ventripotent et soudard...

D'ici l'ouverture du procès et la condamnation de cet homme, tous comprendraient qu’il coûtait cher de se confronter au pouvoir royal, mais quelque part, ses hommes - pour certains des idiots et des lâches et pour d’autres des hommes courageux et déçu par le règne d’un Roi qu’ils avaient appelés de leurs vœux – avaient ouverts la voie. Un jeune homme perdu dans la ville pleurait toutes les larmes de son corps de n'avoir ni vu son père, ni pu aider son oncle… que faire maintenant ? Il n’avait pas le courage de rentrer chez lui pour annoncer la triste nouvelle à sa mère.

Grâce aux bons soins de Mestre Pycelle et à l’intervention héroïque d’Ades Overton et de Barristan Selmy, Myrcella était désormais hors de danger. Mais elle garderait à jamais gravées sur son visage les stigmates de cette attaque soudaine et brutale. La jolie petite princesse n’était plus que l’ombre d’elle-même, et Cersei était effondrée de voir sa fille unique dans un tel état, mais intérieurement elle enrageait. Contre qui ? Telle était la question. Contre les rebelles, désormais tous morts ou contre l’autre responsable de cette tragédie ?

Quand aux autres participants, Lady Sansa, Arya, Margaery Tyrell ou encore la Princesse Arianne et tant d’autres, ils étaient traumatisés par ce qui s’était passé, et en gardait le souvenir d’une nuit bien triste. Mais peu à peu la vie reprenait son cours dans le Donjon Rouge et dans la capitale… comme si tout cela n’avait été qu’un mauvais songe…

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    Voila, l'Event est terminé. Vous pouvez bien sûr ouvrir des sujets pour la suite, après tout, je pense que d'une manière ou d'une autre, cette tragédie va faire changer les choses. A vous d'agir en conséquence ! N'hésitez pas à envoyer des MP aux admins si vous avez des projets pour qu'on en discute. Toutes les idées sont les bienvenues et vous êtes acteur du jeu au même titre que nous et en fonction de votre personnage.
    Vous avez tous les outils, et pour ceux qui n'existent pas encore, ils ne vont pas tarder et pour ceux auxquels nous n'avons pas encore pensés, il suffit de nous les proposer.

    Nous organisons un débriefing de l'Event afin de nous améliorer, merci d'y participer et d'apporter votre point de vue et vos idées WinkEvent : Debrief
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