Drôle de brûlure pour un soleil
Quête

Année 298, Lune 12, semaine 4, jour 5
Montagne Rouge

Les Montagnes Rouges de Dorne sont gardés par de grandes familles. L’une d’entre elles, les Forrest. Les Seigneurs des Marches de Dorne organisent régulièrement des patrouilles pour ne pas avoir d’attaque surprise. Cela fait des centaines d’années que cela dure. Même si une certaines rivalité existe entre ses familles, elles s’entendent relativement bien quand il s’agit de la sécurité de Dorne. Les Dorniens sont très attachés à leur province et on pourrait appliquer la devise des Martell à toutes les principautés car tel est le caractère des dorniens.

En cette belle matinée, la patrouille de chevalier de Lord Forrest part faire son habituelle reconnaissance. Mais quelques heures après, un cheval revient au grand galop avec un corps mort dessus. Un homme au Seigneur de la tombe du Roi. Le malheureux porte une étrange marque sur la joue. Une brûlure en forme de soleil transpercé d’une lance. L’emblème de la maison Martell. Une enquête s’impose de tout urgente. Pourquoi cet homme porte l’emblème de la maison suzeraine sur sa joue ? Que s’est-il passé ?

© Belzébuth

J'étais dans la cour du château quand cela arriva, moi et mon frère Myles nous passions beaucoup de temps à nous entrainer et à entrainer les plus jeunes. Rien ne laisser présager d'un acte contre ma maison en cette belle mâtiné. Pourtant, c'est surpris que je vis entrer par la grande porte, une monture, monté par un homme mort de ma maison. Quittant précipitamment mon frère, j'accourus vers l'homme que je reconnus aussitôt.

« Et merde, Myles! C’est Ser Edryk... »
« QUOI?! »

Le long silence qui s'installa alors, puis le regard qui fut alors le mien en découvrant mon loyal serviteur en disait long sur ma colère et ma rage. Cet homme était parmi les plus loyaux de ma maison et mon propre héritier avait été fait chevalier par cet homme. Plus qu'un ami, il faisait partie de la famille et Ser Myles et moi-même l'aimions comme un frère. C'est mon frère qui remarqua quelque chose sur la joue de l'homme.

« Que les sept ne me foudroient! Regarde cette brûlure sur sa joue c'est l'emblème des Martell! »
« Quoi?! C'est impossible! »

Mais après avoir observé moi-même cette marque... j'étais bien obligé de constater qu'il s'agissait bien de l'emblème de mon suzerain. Bon dieu, à l'époque je me souviens que j'étais à la fois abasourdi et sous le choc. Ma maison avait toujours bien servi les Martell, presque aveuglément. Depuis plusieurs siècles, les Forrest avaient versé le sang des leurs et des rois du Bief pour protéger les Martell et le peuple. *Pourquoi?! *pensais-je, c'était complètement incompréhensible.

« Mon frère! Il faut révéler cette action à nos amis Ferboys, Noirmont et Qorgyle! Parlons-en également à toutes les familles! Les Martell, tout suzerain qu'ils soient ne peuvent s'en sortir indemne! »

« Du calme mon frère, il y a quelque chose d'absurde! Nous avons toujours servie avec courage, honneur et loyauté les Martell. Nous n'avons jamais rien eu à nous reprocher, s'il s'agit bien des Martell... ils payeront un jour, mais... si les Martell veulent notre mal, croit tu vraiment qu'ils se contenteraient d'abattre une troupe de reconnaissance?! En revanche, nous avons des relations extrêmement tendues avec la maison Poulet... et le Bief est en frontière direct avec notre domaine. ça fait beaucoup d'ennemi... beaucoup d'ennemi qui ont de l'intérêt à ce que les Forrest cessent de garder la passe du prince et que nous nous retournions contre les Martell. Si nous partions en guerre contre notre Suzerain, nous affaiblirions la région... personnellement je mets les Poulet au sommet de la liste des suspects, du moins jusqu'à ce que nous en sachions plus pour ensuite agir. Je ne détruirais pas notre nom, notre famille et notre ligné sur un coup de tête! »

Il se tut, attendant mes ordres. Les officiers et bon nombre de soldat de ma maison avaient fini par se rassembler également. Tout autour de moi, je voyais dans leur yeux qu'ils voulaient vengeance, mais tous avait compris où je voulais en venir. La situation était inhabituelle et dangereuse, ce n'était pas une vulgaire dispute entre soldat ou entre ivrogne. Cela pouvait être potentiellement un acte de guerre ou de trahison...


« Myles... tu vas faire envoyer un corbeau à Lancehélion. Si les Martell sont vraiment coupables, leurs éventuelles inaction ou inintérêt pour ce qui se passe ici nous rendra sur et certain de leur intention. Et histoire d'être sûr qu'ils reçoivent ce message, envoie aussi notre neveu Harrion et son demi frère Batard. Qu'ils soient accompagnés de cinq hommes aguerris avec des chevaux rapides! Pour la suite, je vais aller sur la trace de mes hommes et essayé de comprendre ce qui c'est passer. Tu viens avec moi et trente de nos hommes, les autres gardent le château et les environs... et fait moi plaisir, envoie des éclaireurs devant nous... qu'on ne meurt pas bêtement! Nous devons d’abord savoir ce qui se passe avant d’agir! »

Déjà en tenu de combat, je n'avais alors plus qu'à monter sur mon destrier noir comme la nuit. Je ne savais pas ce qui m'attendait, mais je ne voulais pas laisser des hommes tuer mon peuple! Nous partîmes et nous Suivîmes alors les traces de ceux qui furent tombé...



[HRP J’ai une petite question, la limite des 600 mots c'est juste en duo ou c'est aussi pour les quêtes solo? ^^' si c'est aussi pour le solo je ne recommencerai pas promis ^^' ]

Drôle de brûlure pour un soleil
Quête

Année 298, Lune 12, semaine 4, jour 5
Montagne Rouge

Lord Dagos Forrest organise rapidement ses troupes. Pendant que de rapide coursier des sables galopent bride abattu vers Lancehelion, le seigneur de Tomberoy envoie des éclaireurs pour élucider ce mystère inquiétant.

Trois éclaireurs partent rapidement à deux lieus de la forteresse, ils tombent sur un nouveau corps. Un autre soldat possédant la même brûlure sur la joue. Deux hommes dégainent leur épée, prêt à se défendre en cas d’éventuel attaque et un autre fait demi-tour pour prévenir Lord Dagos qui s’est mis en route.
L’éclaireur arrive rapidement près de son seigneur.
« Messire, nous avons trouvé un autre corps portant la même marque. Il a été tué par une flèche en plein dans la gorge. Pas de trace de poison détecté. »

Les Dorniens sont des spécialistes dans les poisons et le maître d’entre eux et Oberyn Martell suivi de près par ses filles. Si aucun poison n’a été vu, la vipère rouge et ses filles ne sont pas les responsables. Mais est-ce que cela va enlever les soupçons de Lord Dagos à l’encontre de sa famille suzeraine ?

© Belzébuth

La limite de 600 mots est aussi pour les quêtes solo

« Messire, nous avons trouvé un autre corps portant la même marque. Il a été tué par une flèche en plein dans la gorge. Pas de trace de poison détecté. »


« Pas de trace de poison mon frère... ce n'est peut-être pas les Martell ou un Dornien après tout. »


« Mh, sauf si c'est une mise en scène. Je n'ai jamais cru ou penser que les Martell ont quelques choses à voir avec ça, mais allons vérifier. Que ça soit les Martell, les Poulet ou autres nous devons poursuivre! » Se retournant vers son éclaireur. « Prend 15 hommes avec toi et reste à une centaine de mètre devant nous, ne quitte jamais notre champ de vision et conduit nous à l'endroit ou tu as trouvé le cadavre de notre compagnon! Nous allons étudier les environs. A trop attendre, tes deux camarades risques d'être mort à notre retour. Dépêchons! »

Nous nous dirigeâmes alors vers ce nouveau cadavre. Ma tête bouillait de rage, mais je me devais de garder mon calme. La tension était palpable, chacun se demander ce qui se passer sur mon domaine. C'était peut-être les prémices d'une guerre, d'une trahison, les enjeux étaient peut-être bien plus grands que tout ce que nous pouvions imaginer. Des cadavres Dornien à la passe du prince, l'emblème des Martell sur la joue des morts en question. C'était le monde à l'envers, je ne doutais pas que les indices viendraient quand nous serions arrivé à destination, mais pendant ce temps l'incertitude dominer l'esprit de chacun. Je ne faisais que revoir en boucle dans ma tête toute maison ennemi à la mienne, mais seul les Poulet et le Bief revenaient sans cesse. Pourtant, il était bien moins puissant que les Forrest pour les premiers et les seconds n'avaient aucun interets d'agir ainsi... ils n'auraient jamais osé... mais que se passait il par les sept?!


Nos hommes avançaient rapidement, mais aussi avec prudence. J'étais intimement persuader que les scélérats qui avaient tué mes hommes n'étaient pas bien loin. Il n'aurait pu fuir en dehors de mon domaine et si c'était le cas, je priais les dieux que ça ne soit pas le cas. Je me ferais alors un plaisir de les traités comme tout homme attaquant les Forrest... mourir avec une lame plantait dans la gorge de haut en bas.


[d'accord, sorry ^^ merci pour l'info ]

Drôle de brûlure pour un soleil
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Année 298, Lune 12, semaine 4, jour 5
Montagne Rouge

La tension était palpable dans les Montagnes Rouges. Personne ne savait que faire, que penser. Lord Dagos arriva rapidement au deuxième cadavre et pu constater que la marque était la même que sur le premier.

Aucun bruit de régnait. Un silence inquiétant et soudain, plusieurs sifflements sourds. Puis des bruits de corps en chute. Des flèches viennent des rochers et s’abattent sur les hommes de Lord Forrest. Qui sont ses archers cachés derrière les roches. Les boucliers se lèvent pour se protéger de la pluie de flèche. Lord Dagos doit donner rapidement des ordres pour arrêter cela sinon le nombre de mort ne cessera d’augmenter. Les assaillants ne sont pas loin et pour découvrir si oui ou non les Martell sont derrières tous cela, il faut agir vite…

© Belzébuth

J'arrivais sur le lieu de l'embuscade. Je descendis de mon cheval et m'approcha du corps sans vie de l'homme qui m'avait servi jusque dans la mort. J'y constatai une nouvelle fois la marque des Martell. Pourtant, je me refusais à croire que mes suzerains étaient à l'origine de ceci, était je aveuglais par ma loyauté? Ou avais-je raison de suivre son cœur? Seul l'avenir pouvait me le dire à cet instant

« Encore cette marque, s'en est grossier et vulgaire à force... » Il retira la flèche de la gorge de l'homme et ferma les yeux de celui-ci. « Que les sept t'accompagnent dans l'au-delà. Repose en paix... mon frère »

Pour moi c'était une grande perte. La mort d'un homme était toujours une tragédie pour moi. Peut-être étais-je trop proche de mes hommes. Peut-être que j'étais trop noble et que considérait la vie de ces hommes comme trop précieuse. Peut-être en effet, beaucoup de noble voyait en leur homme des pions qu'ils pouvaient se permettre de perdre, mais je n'étais pas fait dans le même bois que ces gens là.

Je me redressais et entendit un sifflement... Les flèches surprirent d'abord les hommes de ma maison. Puis, j'eu le réflexe presque instantané de me saisir de mon bouclier et de me protéger. Remontant sur mon cheval rapidement, je commençais à donner mes consignes.

« Homme de la maison Forrest! Ses hommes sont nos ennemis! Chargez à cheval! Myles passe par la droite avec tes hommes! Je passe par la gauche! Encerclons cette vermine! Garder des survivants! Ils auront certaine chose à nous apprendre! » Puis me retournant vers les éclaireurs. « Vous restez la pour protéger nos arrières au cas où! CHARGER!!! »

J'avais bien l'intention de venger mes hommes tombé au combat. Je les vengerais par le sang et le fracas des armes. J'étais si concentrer à ce moment la que tout homme qui aurait croisé mon regard aurait compris qu'il devrait faire face à un guerrier de renom. Je n'étais peut-être pas aussi bon que mon ancêtre qui avait tué un roi, mais j'avais la réputation d'être un guerrier aussi talentueux qu'habile et je n'avais pas volé cette réputation. Le sang coulerait une fois de plus dans les montagnes rouges. Une fois de plus, les Forrest verserait le sang de leur ennemi pour protéger le peuple et la couronne du sud. Cela ne changerait jamais.

Drôle de brûlure pour un soleil
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Année 298, Lune 12, semaine 4, jour 5
Montagne Rouge

Lord Forrest donna des ordres claires et précis rapidement mettant ses hommes en mouvement. Les archers cachés dans les montagnes allaient devoir faire vite pour s’échapper. Ils étaient dix. Ils se séparèrent en trois groupes. Trois d’entre eux partir sur la droite, deux vers la gauche et les cinq derniers s’enfoncèrent dans les montagnes rouges où les chevaux ne pouvaient aller.

Les cinq premiers se retrouvèrent rapidement coincer par les guerriers dorniens mais les cinq autres prenaient la poudre d’escampette. Cependant les deux éclaireurs restaient en amont entendirent les bruits de lutte et des cris ordonnant de fuir. Armé d’arc ils se dirigèrent vers les sons et tombèrent nez à nez avec les fugitifs. Le combat s’engagea rapidement mais les deux éclaireurs étaient dépassés par le nombre. L’un avait un cor et souffla dedans pour appeler de l’aide.

Trois groupes se battent, dont un qui a besoin d’aide. Les dix attaquants ne pourront pas tous être épargnés comme certains hommes de Lord Forrest vont mourir pour défendre les terres dorniennes.

© Belzébuth

Je me souviens très bien de cet instant. Cet instant ou nos ennemis tirèrent une dernière volée de flèche avant de tenter de fuir. Nos chevaux étaient entrain de les encerclés et de charger leur position Nous étions en surnombre, vaincre une petite troupe d'éclaireur, c'était autre chose que d'affronter une trentaine de cavalier habile et aguerris. Néanmoins, je voulais éviter que trop des miens meurent et pendant cette charge, l'homme à cheval qui était à mes côtés mourut d'une flèche dans la gorge et chuta lourdement. Je ne pus empêcher sa mort et cela me plongea dans une rage indescriptible. Une quinzaine d'homme m'accompagner et pourtant. Je fis tout ce que je pus pour arriver le premier sur l'ennemi. Sur le côté gauche, seulement deux cibles me furent offerte par les sept dieux. J'avais alors pris un peu d'avance sur mes hommes suffisamment pour percuter violemment le premier archer avec ma mouture. L'homme était soit mort sur le coup ou complètement sonner. Je ne pris pas le soin de vérifier s'il était en vie, mais le choc l'avait fait mordre la poussière. Je descendis de ma monture, bouclier et épée à la main. Je cherchais désespérément un signe ou un symbole d'appartenance, un blason sur ses vêtements, un début de réponse à ce qui se passer ici.

« Misérable insecte. BAT TOI! »

L'homme n'avait pas le choix et tenta de me frapper. Je parai sa frappe avec mon bouclier et lui asséna un violent coup de poing et enchaîna avec un puissant coup de bouclier qui envoya mon adversaire valdinguait. Il se remit sur ces pieds, le nez briser par l'impact. Il retenta sa chance, mon bouclier encaissa le choc alors que j'effectuais une rapide rotation autour de mon adversaire et frappa en deux rapide coup d'épée chirurgicaux ses tendons. L'homme ne pourrait plus se hisser sur ses deux jambes, plus jamais. Il était à ma merci. J'enjambai son corps, le désarma et le retournait pour qu'il me fasse face.

« Sais-tu qui tu viens d'attaquer? Sais-tu de quelle maison les hommes que tu as tués venaient? Pour qui te bats-tu!? »


L'épée sur la gorge de l'homme, le ton de ma voix se voulait haineux, intimident et terrifiant. L'homme me dévisageait de terreur et je ne pouvais nier que de voir un tel spectacle me satisfaisait au plus haut point. Mes hommes étaient entrain de récupérer l'autre fugitif. Mort ou inconscient? Je m'en contrefichais, je le saurais bien assez tôt, j'avais déjà quoi faire avec ce petit salopard que j'avais entre les mains. C'est alors que retentit le cor des éclaireurs Forrest. Mes hommes étaient attaqués par l'arrière. Me relevant et regardant droit dans la direction, je me dirigeais vers mon cheval en donnant des ordres.

« Vous 5! Attachez c'est deux là et ramener les au château! Les 10 autres! Avec moi! »

Nous avons alors chevauchés vers le bruit du cor, lance, bouclier et épée en main et nous sommes arrivés. Les 5 derniers étaient là. Ces viles créatures à l'âme de traitre aussi sombre que la nuit. Ordure méprisable de tout homme d'honneur qui était venu sur mes terres pour faire couler le sang, bafouant la paix des montagnes et des Forrest. Mes hommes et moi-même chargèrent sous le soleil de Dorne. La poussière s'élever haut dans le ciel. Le combat allait être sans pitié.

Ainsi, cinq hommes étaient entre les mains de la maison Forrest. Les autres seraient bientôt entrain de pourrir sous le soleil de Dorne, mais pour l’instant, captif et cadavre, qu’ils soient ami ou ennemis étaient ramener au château. Qu’allait faire Dagos de ces cinq hommes? C’était relativement simple, déjà les interrogeaient. Ce qu’il s’apprêtait à faire avec impatience. Après tout, rare étaient les hommes assez fou ou courageux pour s’aventurer et s’en prendre à sa famille. Les prisonniers furent placés à genoux, la tête baissée, à l’endroit même où Dagos et Myles échangeaient des coups plus tôt dans la journée. Il descendit de son cheval et passa une fois, puis une deuxième devant ces hommes. Ses pas étaient lent, sûr et oppressant, après tout, les hommes a genoux devant lui mériteraient de mourir et c’est normalement se qui devrait leur arriver, tout homme ayant des intentions belliqueuse envers les Forrest, finissaient bien souvent la gorge trancher, mais Dagos avait des questions auxquels il fallait des réponses. Il était même prêt à négocier pour les avoirs, mais pas tout de suite, pourquoi négocier quand ce n’est pas nécessaire. Il s’approcha alors de celui qui semblait le plus craintif des cinq et prit la parole.

« Enfermez les quatre autres dans les geôles du château… sans eau… ni nourriture! Et ne les mettaient pas ensemble. Qu’il soit seul dans leur cellule à réfléchir sur leur avenir ! Deux gardes devant chaque cellule ou il y a un prisonnier. Ils n’en sortiront que s’ils ont quelque chose à dire »

Voilà des mots et des actes dont il n’avait pas l’habitude de prononcer et d‘effectuer. Dagos s’avait s’y prendre. Si la force ou les menacent ne marchaient pas, peut-être qu’une mort lente et douloureuse par la soif et la faim finiraient par leurs délier la langue. Nul doute pour lui que si dans ces quatre hommes, l’un d’entre eux voulait lui parler, il n’attendrait pas d’être amener dans une cellule. Et s’ils ne le faisaient pas tout de suite, la soif et la faim les ferraient craquer. Tous les hommes avaient leurs limites et Dagos le savaient. Ce n’était qu’une question de temps. Il s’éloigna en disant quelques mots alors que ces hommes commençaient déjà à emmener les prisonniers.

« Toi tu reste ici » dit-il d’une voix dure. Il reprit avec un regard noir. « Tu as quelques choses à me dire pour sauver ta vie? Ou tu préfère les rejoindre et souffrir inutilement? Tu as juste à me dire pourquoi tu as attaqué ma maison, qui en à donner l’ordre et pourquoi tu avais ceci. » Dit il en montrant l’objet qui avait provoqué des brûlures sur les joues de ses hommes. « Tu n’aime pas les Martell ? »

Il observait l’homme et le dévisageait du regard. Il n’avait pas l’air d’être le gentil Lord dont on peu se moquer ou rire, mais bien d’un guerrier avide de vengeance et de prise de connaissance, il semblait être le genre d’homme possédant un désir qu’il ne valait mieux pas contrarier

L'homme que j'interrogeais ne fut pas très... courtois dirai-je. Il était provocateur, méprisant et insultant. Une chose que je n'appréciais guère et cela venant de n'importe qui, qu'il soit roturier ou roi. Sa seul réaction fut d'insulter l'ensemble des Dorniens et ma personne. Grossière erreur, du moins s'il voulait un jour rentrer en un seul morceau. Ce qu'il ne ferait surement pas maintenant. Néanmoins, s'il était au service des Poulet ou des Martell, ou toutes autres maisons du Sud... il n'aurait surement pas dit cela. C'était peut-être un début de réponse, mais l'homme pouvait très bien mentir et se faire ennemi de Dorne, quoiqu'il en soit, c'était déjà finit pour ce qui était d'interroger celui la, car ma punition fut rapide et le frappa à l'instant où il prononça de vil parole.

« Allez-vous faire voir. Vous et tous les Dorniens. » A cet instant, mon épée sortie de son fourreau et je lui enfonçais mon épée par la pointe au centre de la main, ce qui eu le même effet que de lui clouer la main sur le sol.

« On dit! Allez-vous faire voir... mylord! »

Je retirai alors l'épée du sol et ordonna à mes hommes de l'emmener d'un geste de la main. « Ne soignaient pas sa blessure, il n'aura qu'à demander à parler et dire des informations s'il veut être soigné ». Je n'écoutais même pas les gris de douleur de l'homme. Je lui avais certainement fait très mal et des os avaient surement était détruit. Sa main ne pourrait s'en doute plus jamais tenir une épée ou un arc, un peu à la manière des rares survivants qui furent un jour crucifier.

« Mylord, un prisonnier demande à vous parler. »

« Et bien amène le moi dans la cour! qu'est ce que tu attend? fait vite je te pris! »

Il y en avait un qui voulait parler. Il était temps. Ce n'était pas que j'étais impatient d'ordinaire, mais dans le cas présent, on avait essayé de me faire croire que les fautifs étaient mes suzerains. Je voulais donc une réponse et vite. Dans le pire des cas, mon épée rencontrerait encore du sang et ça n'était pas une mauvaise chose. Il arriva alors devant moi. Je mis mon épée sur mon épaule et lui demanda alors la même chose qu'à l'autre.

« parle, je commence à être irrité et impatient. Dit moi pourquoi tu as attaqué ma maison, qui en à donner l'ordre et pourquoi tu avais ceci. » dit je, en montrant une fois de plus l'objet qui avait provoqué des brûlures sur mes hommes.